• Jérôme BARBOSA _ Solidarités et Résistances en Ukraine
  • Vincent BOISOT _ Les étoiles de Lagos
  • Philippe BOUJASSY _ Série noire; un livre, une photo
  • Giuseppe CARDONI _ In and out of the ring
  • Victor d’ALLANT _ Vous qui entrez ici …
  • Jean-Claude DELALANDE _ Quotidien
  • Erwan FLOC’H _ Le Royaume de l’aube
  • Séverine GALUS _ Trisomique… Et alors ?
  • Frédéric GRIMAUD _ Athinganos : Les Hommes Moustache
  • Pascal KAMPENAR _ J’existe, moi
  • Patrick LABARRERE _ Ethiopie berceau de la chrétienté orthodoxe
  • Alain LICARI _ L’album de Monsieur Soumah. Une histoire de la Guinée
  • Cassandre NATIVEL _ Angola _ Déminage « Ici, la terre ne blesse plus »
  • Xavier ROY _ Instants d’ailleurs (1938-2023)
  • Émeline SAUSER _ Refuges
  • Hervé SCHMELZLE _ Février – Mes glaces du Léman
  • Virginie SEILLER _ Be Bop Days
  • François SILVESTRE DE SACY _ Are you recording ?
  • Leslie SOBAGA _ Le potager de mon Père
  • Marylise VIGNEAU _ Sakartvelo, chronique d’une résistance

Née en 1977, à Poitiers. Elle suit des études de théâtre et de cinéma, avant de devenir médiatrice artistique au Festival de Bellac. Le projet photographique Pas.sages, derniers jours d’une école maternelle saisit les derniers jours de l’école maternelle Jean Giraudoux, lieu symbolique du centre ville, où rires, chants et cris ne sont plus !
Cette proposition de diptyques est son premier projet photographique individuel.

Silvana est née à Saint-Étienne et est devenue photographe professionnelle en 1997. Elle obtient le titre de Qualified European Photographer, option mariage, en 2009, ainsi que plusieurs médailles de bronze et d’argent dans diverses catégories.
Pauline, juriste de formation, a ouvert la librairie indépendante « Livres et vous » dans sa ville natale de Ruffec en 2015.
Le titre de cette exposition commune, Les Ruffécoises qui lisent sont dangereuses, est inspiré du livre de Laure Adler Les femmes qui lisent sont dangereuses. À partir de cette anthologie de la peinture, depuis le Moyen Âge jusqu’à nos jours, elles la réadaptent en photographiant seize Charentaises, choisies pour leur physique proche de celui des personnages des oeuvres originales. Douze Ruffécoises et quatre Barrotoises se prêteront au jeu du modèle « lectrices », à travers les accessoires, l’habillement et le lieu de la scène choisis. Avec habileté, les deux autrices remettent au centre du débat l’importance de la lecture et le rôle de la femme dans la culture.

Lauréate du Prix du Public BarrObjectif 2024, est une artiste italo-américaine, primée par la FIAP et PSA, elle explore l’humanité à travers la photographie. Son exposition Vie et mort le long de la rivière Bagmati documente les rites funéraires publics à Katmandou, où cohabitent chaos et sérénité.

  • Virginie NGUYEN HOANG _ Grandir, trop vite, à Kharkiv

Née en Belgique, elle étudie le journalisme et le photojournalisme. En 2012, elle rejoint l’agence Hans Lucas et cofonde le collectif HUMA. Son reportage au long cours Grandir, trop vite, à Kharkiv évoque non seulement la guerre, mais surtout ses répercussions sur le quotidien et l’état psychologique d’une petite fille, Diana, devenue adolescente en plein conflit.

Né en Belgique, il est l’auteur de plusieurs monographies. Lauréat de prix et de bourses en Europe et aux États-Unis. Il enseigne également le photojournalisme à l’école de journalisme de l’Université Libre de Bruxelles. En 2017, il crée l’agence MAP, puis redevient free-lance photographe.
Son reportage primé, Les ravages de la Tranq, réalisé dans le quartier de Kensington à Philadelphie; épicentre de la vente de la consommation de Tranq sur la côte est des États-Unis, témoigne de la déchéance des toxicomanes et des sans-abri qui viennent chercher leurs doses quotidiennes.


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