Cyril Abad _ In God we Trust, voyage au cœur des excentricités de la foi aux USA


BIOGRAPHIE

Cyril ABAD est un photographe indépendant depuis une dizaine d’années. Basé à Paris. Membre de l’agence Hans Lucas. Son travail documentaire interrogeant la place de l’homme dans une société en perpétuel changement est largement influencé par la photographie de rue. Son écriture photographique est volontairement décalée, intuitive et picturale.

Son travail a été publié entre autres dans la revue 6Mois, National Geographic, D la Repubblica, DE VOLKSKRANT,  Stern magazine, Le Monde, la revue 24H01, Society, le magazine EBDO, Fisheye Magazine, Le Parisien Mag, La Croix, Le Nouvel Obs, La revue Long Cours, Le magazine 75, La Vie, Paris Match, Wider Mag, Libération, Le Pèlerin, Alternatives économiques, Les Echos,  etc….

Prix Mentor 2017, lauréat du Miami Street Photography Festival 2017, lauréat du prix MAP 2013, lauréat du prix 2015 Regards double.

EXPOSITION BARROBJECTIF 2019 : In God we Trust, voyage au cœur des excentricités de la foi aux USA

DRIVE-IN CHRISTIAN CHURCH. Chaque dimanche, le révérend Rob s’exprime sur le balcon de l’église chrétienne Drive-In, devant un parking. Le sermon est diffusé en direct sur la bande passante 88.5 FM.

Ce reportage est une exploration de la société américaine au travers du prisme religieux.

Dans un environnement social particulièrement morose couronné par l’élection de Donald Trump (qui a recueilli plus de 80 % du vote blanc chrétien), la religion est plus que jamais un marqueur pertinent pour mieux appréhender l’évolution de la société américaine.

Dans ce reportage je m’intéresse à la manière dont l’offre religieuse (exclusivement d’obédience protestante : plus de 52 % de la population américaine) se réinvente en suivant les évolutions du libéralisme.

J’ai pu identifier un certain nombre de groupes ou niches aux spécificités originales parfois insolites et ciblés par les églises.

Ces groupes sont de véritables indicateurs de l’évolution sociale, restant persuadé que c’est à la marge qu’on trouve les ébauches des grandes évolutions.

Loïc Mazalrey – Prêtres d’aujourd’hui

PretresDAujourdhui-surfeur©MAZALREYLoïc Mazalrey est né le 25 Juin 1985 à Bergerac. Nourri enfant par la passion d’un père photographe, Loïc, très tôt abandonne son premier métier de paysagiste pour se consacrer à l’âge de 24 ans exclusivement à la photographie.

Photographe de news au Journal Sud-ouest en Dordogne, il alterne avec joie et habileté photographies d’actualité locale et reportages intimistes de gens ordinaires. Formé sur le terrain, autodidacte, il aime avant tout être la mémoire des mondes qui vacillent. Ses premiers essais photographiques ont reçu de nombreux prix à des concours amateurs et professionnels mais aussi des coups de coeurs dans la presse spécialisée.
Certaines photos artistiques, comme celles de sa compagne Emilie sont exposées dans des galeries parisiennes. « Léo et Jeanine » est son premier sujet personnel, il obtiendra le Grand Prix d’Auteur de la Fédération Photographique de France avec ce sujet.
Il est maintenant membre de l’agence Dalam depuis 2014.
Loïc Mazalrey à exposé à Barrobjectif en 2013.

EXPOSITION BARROBJECTIF 2016 :  Prêtres d’aujourd’hui

Qui sont les prêtres du 21ème siècle ? Des hommes dévoués à l’Eglise, qui gardent un lien fort avec le monde qui les entoure. Certains, pour ne pas dire beaucoup, nourrissent même des passions qui ne lassent pas de surprendre. Christophe aime le surf, Philippe, l’aviation, Patrick, la moto. Christian s’éclate à la radio quand Emmanuel collectionne les tracteurs. Tous vous diront qu’aimer Dieu n’est pas incompatible avec une passion, bien au contraire : on peut aimer le Créateur, le servir et cultiver son jardin secret. Bien souvent, on en ressort même plus fort et plus proche de ses contemporains.PretresDAujourdhui©MAZALREY-Loïc Être prêtre, bien plus aujourd’hui qu’hier, c’est vivre avec ses concitoyens et échapper au huis-clos. A quoi cela tient-il ? Peut-être à des parcours de vie, des cheminements personnels qui ne sont plus aussi rectilignes que par le passé… À l’image de Philippe, ancien pilote de chasse dans l’armée française, ou encore de Patrick qui a vécu en concubinage aux Etats-Unis, de plus en plus de prêtres ont mené des vies « ordinaires », plus ou moins éloignées de la religion, avant d’entrer dans l »Église. L’appel de Dieu, souvent tardif, n’en a été que plus fort et sincère. Mais, reste en eux, comme un legs de leur passé, cet indéfectible désir de compréhension de l’autre, cette envie d’aller vers lui et de lui tendre la main.PretresDAujourdhui-critique-cinema©MAZALREYjpg EXPOSITION BARROBJECTIF de Loïc Mazalrey en 2013 : Le Paysan Tarnais

Antonio Gibotta – Le voyage d’un pélerin

Antonio Gibotta est né à Avellino au mois d’août 1988, sa passion pour la photo se développe aux côtés de son père, lui-même photographe professionnel de distinction.

Diplômé en 2006, il transforme sa passion en profession, accumulant les expériences et les reportages. Il se forge une identité photographique, reflet de sa personnalité.Antonio Gibotta

Au cœur de son œuvre, notre commune humanité et les questions sociales. Il est primé à de nombreux concours internationaux.

EXPOSITION BARROBJECTIF 2016 : Le voyage d’un pélerin

C’était ma deuxième expérience dans ce train lors d’un pèlerinage organisé par UNITALSI. C’est assez étrange, les patients considèrent ce voyage comme une fête. Ils y retrouvent de vieux amis rencontrés lors de voyages précédents, ils sourient ensemble, partagent leurs émotions. Ce reportage, c’est l’histoire d’Enzo, atteint de spasticité. Il est le pèlerin le plus âgé, un homme d’une grande gentillesse qui partage sont expérience avec tendresse et simplicité. Jour après jour, sa solitude le rend triste. Sa foi l’aide à se sentir aimé et elle lui permet de ne pas se sentir seul.


Reportage video sur le pélérinage d ‘Enzo

Reportage photo sur le pélérinage d’Enzo

EXPOSITION BARROBJECTIF 2013 de Antonio Gibotta : La Crémation en Inde

Céline Anaya Gautier – Santiago au pays de Compostelle/ Le voyage initiatique d’un petit homme

Santiago au Pays de CompostelleDe 6 à 18 ans, Céline Anaya Gautiera vécu au Pérou, dont elle est originaire. De retour en France elle a exercé la profession d’hôtesse de l’air. Lors de ses escales, elle a visité avec passion les pays qu’elle a traversés, s’est confrontée à la misère et a décidé de s’investir dans l’action humanitaire, notamment au Pérou. Elle a d’abord travaillé à la Posadita del buen pastor à Lima, avec des enfants atteints du Sida, souvent orphelins, et toujours rejetés. Elle s’est également occupée d’enfants des rues exploités dans des usines à briques.
En 2003, elle a entamé son premier travail photographique Coeur de Femmes. Durant 2 années, elle a accompagné des femmes de la rue, de passage à la Halte, à Paris. « Être photographe répond à une volonté de témoigner, de transmettre une réalité poussée au-delà du premier regard. » Pour ce travail, elle a obtenu, d’une part, la bourse du Talent reportage Kodak, une bourse Défi jeune du Ministère de la Jeunesse et des Sports, et a fait partie des lauréats de la bourse Marcel Bleustein-Blanchet. Elle a publié, d’autre part, le livre Coeur de Femmes, en mars 2004, aux éditions de La Martinière.
En décembre 2004, elle a entrepris un reportage sur les coupeurs de canne à sucre haïtiens en République Dominicaine: Esclaves au Paradis. Elle a été à l’origine d’une campagne internationale de dénonciation des conditions d’esclavage auxquelles étaient soumis les coupeurs de canne dans les plantations dominicaines. Celle-ci a, entre autres, été soutenue par Amnesty International, la FIDH, le maire de Paris, Bertrand Delanoë et le rapporteur spécial de l’ONU sur les formes contemporaines de racisme et de discrimination Doudou Diène.
Pour ce travail, Céline Anaya Gautier a été finaliste du grand Prix CARE International du reportage humanitaire et lauréate du prix de l’enquête du Festival du Scoop d’Angers en 2007. Ce sujet a déjà fait l’objet d’une centaine de publications dans la presse nationale et internationale.
Le livre Esclaves au Paradis, accompagné d’un CD de chants traditionnels des coupeurs de canne haïtiens, a été publié en avril 2007 aux éditions Vents d’ailleurs.

En 2008, elle publie son troisième livre « Le vrai goût du Cambodge » qui invite le lecteur à découvrir le pays « du sourire » à travers son art culinaire et sa culture.

En 2010, Elle réalise pour le cinquantième anniversaire de la Fondation Bleustein Blanchet 50 portraits de lauréats dont Allain Bougrain-Dubourg, Laurence Zigvogel, Yves Coppens, etc.

Santiago au Pays de Compostelle

Aujourd’hui, à 39 ans, Céline a écrit son premier récit «Dis maman, c’est encore loin Compostelle ?» sortie aux Editions Le Passeur pour lequel elle est lauréate du prix du témoignage 2015 du Pèlerin Magazine.Coeur de Femmes
En avril 2016, son nouveau livre-photo «Santiago au Pays de Compostelle» sortira aux Editions de la Martinière. Elle accompagne l’itinérance de ses expositions. Elle publie son travail personnel et collabore avec plusieurs magazines en France et à l’étranger. Elle est aujourd’hui représentée par la VOZ’Galerie.

Céline Anaya Gautier expose depuis 2003. En liste ses dernières expositions depuis 2008.

    • Avril 2016 Exposition Santiago au Pays de compostelle – Voz’Galerie – Boulogne Billancourt
    • Mars 2013 Exposition Coeur de Femmes – boutographies – Rencontres Photographiques de Montpellier
    • Septembre 2011 1950 2010 voir avec le regard de l’autre – exposition collective – Royal Monceau, Paris
    • Juillet 2010 Exposition 60 ans picto en Arles – exposition collective
    • Décembre 2009 Diaporama théâtre Marigny 50 portraits – 50 ans de la Fondation Bleustein Blanchet pour la vocation
    • Juin 2009 Exposition Coeur de Femmes – 9ème Festival de la rue – Parvis de Notre Dame, Paris
    • Mai 2009 Exposition Esclaves au Paradis – Espace Landowsi, Boulogne Billancourt, France
    • Novembre 2008 Projection Esclaves au Paradis – Angkor Photography Festival, Cambodge

 Bourses et prix

    • Novembre 2015 Prix du Témoignage Pèlerin Magazine pour « Dis maman, c’est encore loin Compostelle? »/li>
    • Mai 2014 Finaliste du Prix Hipa Internationale cathégorie « Street Life »
    • Mai 2014 Subvention pour le travail sur la Chasse à Courre par la Société de Vènerie de France
    • Avril 2008 Prix du livre Gourmand pour Le vrai goût du Cambodge – Périgueux
    • Novembre 2006 Prix de l’enquête pour le projet Esclaves au paradis – Festival du Scoop d’Angers

EXPOSITION BARROBJECTIF 2016 : Santiago au pays de Compostelle/ Le voyage initiatique d’un petit homme

Après avoir passé deux ans avec les femmes SDF à Paris pour son travail « Coeur de Femmes », Céline, photographe, part sur le chemin de Compostelle. Elle le parcourt maintenant depuis 10 ans. Pour elle, c’est un espace de silence, de partage, de recueillement où elle peut loin de tout mais entourée de la vie poser ses expériences, les digérer, les assimiler et se retrouver.Santiago au Pays de Compostelle

D’origine Franco-Péruvienne, elle a toujours été attirée par les rites de passage des anciennes civilisations. Elle prépare son fils Santiago, depuis ses 4 ans, à cette épreuve. Une épreuve où, pour devenir un petit homme, il devra se surpasser, physiquement mais aussi émotionnellement et spirituellement. En commençant par choisir lui-même son épreuve, et le moment où il sera prêt à la surmonter. Une nuit de ses 7 ans, Santiago a enfin choisi : « Maman, je veux aller sur mon chemin, le chemin de Santiago de Compostella et je te promets que, même si j’ai mal aux pieds, j’irai jusqu’au bout. » 13Petit_Homme©Céline_Anaya_GautierD’abord perplexe, elle l’avertit de la difficulté de son entreprise. Comme depuis le berceau elle lui répète qu’il est le descendant direct des Quechuas, qu’il est un petit guerrier des Andes et que « difficile n’est pas impossible », elle décide d’accepter, de le préparer et de l’accompagner dans cette aventure.

Mais elle, est-elle vraiment prête ?

Dossier de presse de l’exposition de Céline ANAYA GAUTIER
Santiago au Pays de Compostelle

Jean Daniel Guillou – Sara la kali

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Né en 1963 à Dakar (Sénégal), il vit en Charente. Photographe freelance, il est l’auteur du livre 18, Appels d’urgence (éditions Arléa) sur les sapeurs-pompiers, un reportage qui a nécessité deux ans de travail. Il a notamment réalisé pour Géo un exceptionnel témoignage photographique sur les derniers Tziganes vivants en roulotte dans le Limousin.

Jean-Daniel Guillou est un passionné de l’Afrique où il a réalisé un reportage sur l’association de L’Arche de Zoé. Emprisonné au Tchad pendant deux semaines, il s’est retrouvé au cœur de l’actualité.
Curieux des univers les plus variés, il est un observateur patient du quotidien et de ses semblables. Il appartient à la famille des photojournalistes au long cours et réalise des sujets complexes ou nécessitant une approche précautionneuse. Jean-Daniel Guillou aime se fondre dans le paysage, se glisser dans la peau d’un anonyme jusqu’à se faire oublier pour capter la sincérité de l’autre dans l’intimité de son quotidien. C’est ainsi qu’il met également son expérience acquise au fil de ses reportages au service des entreprises et des institutions. Quel que soit le sujet, il conduit son travail avec la même exigence : partager la richesse de ses rencontres, restituer les émotions et les instants qui lui sont offerts.
Jean-Daniel Guillou aborde la photographie comme une façon de vivre avant même de l’envisager comme profession.

EXPOSITION BARROBJECTIF 2015 : Sara la kali

C’est au mois de mai que les gens du voyage se rassemblent, face à la mer, aux Saintes Maries. Ils viennent par milliers vénérer Sainte Sara (Sara la kali ou Sara la noire) dont la statue se trouve dans la crypte de l’église fortifiée de notre dame de la mer.

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Jean Daniel Guillou

Sara la Kali, Sara la noire, serait la servante de Marie Jacobé et Marie Salomé chassée de Jérusalem après la mort du Christ dans une barque sans voile ni rames qui échoua en Camargue.

Avertie miraculeusement de l’arrivée de Marie Jacobé et de Marie Salomé, Sara la noire les conduisit au temple païen, le temple « Ra » à l’emplacement même ou  fut édifié l’église fortifiée de Notre Dame de La Mer. Très vite après la mort des Saintes, un culte se répandit avant que la construction de l’église forteresse au XIIe siècle ne le confirme.

Au XIV siècle le pèlerinage est déjà très populaire. Il prendra une tout autre ampleur après 1448, quand les fouilles entreprises par le roi René sous l’autel de l’église découvrent les reliques des saintes femmes.Guillou_9607

Elles furent mises dans des châsses (coffre, cercueil ou reliquaire) et transportées dans la chapelle haute de l’église. L’émotion est à son comble lors de la descente des châsses contenant les reliques descendues de la chapelle haute qui s’ouvre sur la nef de l’église par une fenêtre située au dessus de l’arc du clocher. Un treuil de cordages de marine fleuries descend au milieu des chants et des acclamations. Peut après, c’est le tour de la statue de quitter l’église Notre dame de la Mer, elle est portée par les gitans et escortée jusqu’à la mer par des milliers de fidèles sous la conduite des gardians à chevaux.Guillou_6952 Guillou-1449EXPOSITION BARROBJECTIF 2014

Isabel Corthier – Ayethikar, une nonne Bouddhiste à Myanmar

Isabel Corthier est une photographe freelance. Elle travaille en Belgique et dans le monde entier pour faire des reportages photographiques et des portraits.
Avec son mari, elle va dans le tiers monde où elle travaille en tant que photographe ainsi que comme logisticienne pour Médecins sans Frontières. Pendant son travail sur le terrain elle fait des photos des gens qu’elle rencontre.
Entre les missions, Isabel fait des reportages photographiques pour les ONG comme MSF, Caritas, Trias, Vredeseilanden (VECO), Louvain Coopération et Entrepreneurs pour Entrepreneurs. Ses photos étaient montrées dans des expositions en Chine, Inde, Belgique et quelques images ont remporté des prix.
Dans sa photographie son but est de montrer l’humanité dans la vie de chacun.

EXPOSITION BARROBJECTIF 2015 : Ayethikar, une nonne Bouddhiste à Myanmar

Agée de 21 ans, Ayethikar était très malade, et les gens du village lui avaient recommandé de se retirer dans le monastère, ça apporte le bonheur.
C’est ce qu’elle a fait et depuis elle habite dans le couvent Agayar Tawya à Yangon.
Elle a maintenant 32 ans. Néamoins , après quelques années, elle a été infectée  par l’ hépatite C à cause d’un traitement non hygiénique chez le dentiste.

Photographe Isabel Corthier miroir voiture

Isabel Corthier

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Cependant elle n’est pas fâchée. Le bouddhisme lui apprend à faire face à ces problèmes. Elle est reconnaissante de n’avoir encourru que l’hépatite C et rien d’autre.
Elle ne doute jamais de son choix et est prête à servir dans le couvent jusqu’à la fin.

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Au total, 30 religieuses vivent dans ce couvent.
La plus jeune est âgée de 7 ans.
Les nonnes se lèvent à 4 heures pour la première méditation.
Elles font les travaux domestiques ensembles, pendant lesquels chaque personne a sa propre tâche.
Beaucoup d’enfants se sentent appelés par le noviciat.

Au M, il est commun pour un  bouddhiste de servir au moins une fois dans sa vie  une période dans un monastère.
Ceci apporte le bonheur dans la famille.corthier_ayethikar19

EXPOSITION BARROBJECTIF 2014 : Rencontres dans le sud Soudan

Serge Simon – Pélérinage des hassidim à Lelow

Photographe professionnel depuis 1976, j’ai travaillé pour la presse, l’édition et la publicité. Je suis également l’auteur de nombreux ouvrages, en collaSerge.Simon-portraitboration avec Dominique Simon, mon épouse, pour les textes.
En 2004, je m’oriente vers une photographie humaniste en N&B et reste fidèle à l’argentique.
A partir de cette date, mon travail est réservé aux expositions. Ces dernières années, je me suis surtout interessé aux nomades, de Mongolie et du Sahel.
En janvier 2014, j’ai pu réaliser ce reportage sur le pélérinage des juifs orthodoxes en Pologne, grâce à la complicité d’une amie polonaise, Barbara, qui a tout mis en oeuvre pour que je sois présent le jour J. Afin de conserver l’ambiance des scènes prises à l’intérieur et demeurer discret, je n’ai pas utilisé de flash. Aussi, ces images sont réalisées avec des films très sensibles.

EXPOSITION BARROBJECTIF 2014 : Pélérinage des hassidim à Lelow – Pologne

Le petit village de Lelow (moins de 2000 habitants) en Silésie est à 80 kms environ au nord de Katowice. Dés le XVI ème siècle, Lelow voit sa communauté juive prospérer et devient  au XVIII ème un centre très important de l’Hassidisme. En 1939, la plupart des juifs de Lelow sont déportés vers le camp de Treblinka. Ce village est aujourd’hui un haut lieu de pélérinage des hassidim (juifs orthodoxes) du monde entier qui viennent se recueillir sur le tombeau  du tsadik David Biderman (1746 –1814), un de leurs maîtres spirituels.
En janvier 2014, année du bicentenaire de la mort de David Biderman, un grand nombre de pélerins venus de tous horizons, se sont retrouvés à Lelow. La journée du 8 janvier s ‘est écoulée au rythme des prières, entrecoupées de chants et de danses; pour les hassidim la communion avec Dieu doit être joyeuse.

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Jacques Hamel – España

 

Portrait Jacques Hamel2D’origine normande, Jacques Hamel vit et travaille à Dax depuis 1991 comme formateur en informatique.

En 1982, une photo d’identité sera le déclencheur qui lui fera découvrir l’art photographique. Cet événement marquant fera que cette passion, qu’il exercera en autodidacte, ne le quittera plus.

Diverses publications et expositions individuelles et collectives :

« Marines», « Sol y Sombra», « Espagne intemporelle, entre profane et sacré».

Réalisation de l’affiche du Festival Paso Passion de Dax 2005, 2006 et 2007.

Réalisation de l’affiche des Fêtes de Tyrosse 2007.

Reportage sur la pêche au Portugal exposé au festival photographique de Dax (juillet 2013)

Contact :
www.jacqueshamel.com
photo@jacqueshamel.com

EXPOSITION BARROBJECTIF 2013 : españa :
Espagne intemporelle, entre profane et sacré

jacques hamel011« Déments et archaïques cortèges des carnavals ruraux. Processions silencieuses et hypnotiques des pénitents de la Semana Santa. »

Étonnemment, ces ambiances antinomiques procurent la même sensation étrange de perte des repères temporels. Au cœur des défilés, ces rituels, qu’ils soient sacrés ou païens, se conjuguent-ils au présent ? Au passé ? Ou dans un temps sans frontière, élargi au point de fusionner toutes les strates des âges passés, présents et à venir ?

La photographie offre à l’artiste l’occasion de fixer ces ombres et lumières croisées dans ces moments magiques, d’en conserver l’empreinte, une fois les bannières et les costumes remisés.

Elle l’accompagne fidèlement au cours de ses voyages dans cette Espagne plurielle, comme la décrit Michel Dieuzaide : « L’Espagne, c’est avant tout le pays des contrastes. On y trouve tout et son contraire au même moment ».

Alors, au fil de ses périples, les images de Jacques Hamel racontent tour à tour, les paysages déserts et des scènes de rue contemporaines, les détails d’arts profanes et le baroque d’une œuvre religieuse, le raffinement de l’architecture andalouse, les rondeurs des moulins de la Mancha et la puissance animale du toro de combat, tous ces lieux chargés de force brute, de beauté et de passion qui expliquent en partie les raisons de ce « Sortilège espagnol » qui le fascine tant.

Cécile Tastet, septembre 2012

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Antonio Gibotta – La Crémation en Inde

Né à Avellino au mois d’août 1988, sa passion pour la photo se développe aux côtés de son père, lui-même photographe professionnel de distinction.

Diplômé en 2006, il transforme sa passion en profession, accumulant les expériences et les reportages. Il se forge une identité photographique, reflet de sa personnalité.

Au cœur de son œuvre, notre commune humanité et les questions sociales. Il est primé à de nombreux concours internationaux.

Expositions

        • 2010 IPM-Italian Photo Master
        • 2010 “In the balance between tradition and modernity”, en Tanzanie, à paraître dans le mensuel Potpourri
        • 2011, reportage sur le marché aux poissons de Dar Es Salaam et la fabrique de sisal, sur vogue.it
        • membre Anfm, Fiof, Tau-Visual, Wpja
        • un des huit jeunes talents sélectionnés par Fiof
        • expose, en 2011: Vogue Fashion Night Out au Palazzo Morando, Milan
        • Lishui, Chine, 14e Exposition Internationale d’Art Photographique
        • 2012 : Festival du Portrait Européen Photographique, Arles 15 juillet–23 septembre

Collabore à l’Agence Backlit

Contact

site : www.antoniogibotta.com
courriel : antoniogibotta@me.com

EXPOSITION BARROBJECTIF 2013 : La Crémation en Inde

En_Inde©Gibotta

La pratique de la crémation des morts est fondamentale pour la religion hindoue, qui enseigne que le corps est composé de cinq éléments : eau, feu, terre, air, éther. Seul Agni, dieu du feu, peut transporter l’esprit du mort vers les dieux. La crémation purifie la dépouille et rend à l’Univers les cinq éléments qui le composent.

En_Ibde©Gibotta En_Inde©Gibotta