Xavier Roy _ Instants d’ailleurs
«Instants d’ailleurs» rend hommage à Xavier Roy, photographe au regard attentif et voyageur infatigable. À travers ses clichés monochromes qui dévoilent un monde saisi avec pudeur, justesse et poésie, les portraits, scènes du quotidien et paysages s’y répondent pour dessiner une œuvre profondément humaine.
Émeline Sauser _ Refuges
Refuges de Émeline Sauser est un récit photographique sur la résilience, né de rencontres faites en errance. Il mêle rêves, blessures et liens humains pour révéler que l’amour, l’autre et la consolation sont souvent les plus puissants refuges. Une ode à l’espoir.
Angela Poggioni _ Prix du public 2024
Lauréate du Prix du Public 2024, Angela Poggioni revient cette année avec une nouvelle exposition : Vie et mort le long de la rivière Bagmati. À travers le site sacré de Pashupatinath, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, elle nous plonge au cœur des rites funéraires hindous, des castes et de la spiritualité qui imprègnent Katmandou.
Alain Licari _ L’album de Monsieur Soumah, une histoire de la Guinée.
Monsieur Soumah, 82 ans, raconte sa vie à Fria depuis 1959, entre mémoire, indépendance guinéenne et nostalgie d’une époque prospère. LLe témoignage de l’un des plus vieux résidents de cet ensemble d’immeubles.
Cassandre Nativel _ Angola _ Déminage « Ici, la terre ne blesse plus »
En Angola, Cassandre Nativel documente le travail de déminage. Son reportage met en lumière celles et ceux qui, chaque jour, rendent la terre à la vie et permettent aux communautés de se réapproprier leur avenir. Au-delà du danger, elle saisit les gestes, la
solidarité et l’espoir d’un renouveau, là où la paix regagne lentement du terrain.
Jean-Claude Delalande – Quotidien
À travers son œuvre profondément personnelle, Jean- Claude Delalande a construit depuis 1993 un travail photographique intime autour de la cellule familiale. Se mettant lui-même en scène dans des tableaux minutieusement composés, il a créé une auto-fiction où la banalité du quotidien devient un terrain d’exploration artistique. Sa série «Quotidien» retrace, avec une justesse parfois cruelle, les instants de vie d’un couple puis d’une famille parisienne – entre tendresse, ironie et mélancolie.
Philippe Boujassy _ Série Noire, un livre une photo
Série Noire, un livre une photo mêle street photography en noir et blanc et littérature noire, en associant chaque photo à un livre, par son titre ou son contenu, souvent avec humour. Ce projet rend hommage aux grands noms du roman noir.
Virginie Nguyen Hoang _ Prix Camille Lepage 2024
Ce reportage de Virginie Nguyen Hoang, primé par le Prix Camille Lepage 2024 suit Diana, une fillette ukrainienne grandissant au cœur de la guerre. Entre bombardements, séparation familiale et détresse psychologique, cette série de photos explore les blessures invisibles du conflit sur l’enfance et la perte brutale de repères.
Gaël Turine _ Prix RSF “Lucas Dolega-SAIF” 2024
Au cours des 36 derniers mois, une personne est morte d’overdoses toutes les cinq minutes aux États-Unis. Alors que l’épidémie d’Opioïdes se poursuit, un nouveau cocktail appeler « Tranq » a encore aggravé la situation : il est environ 50 fois plus puissant et addictif que l’héroïne. Le quartier de Kensington à Philadelphie est l’épicentre de la vente de la consommation de Tranq sur la côte est des États-Unis.
Vincent Boisot _ Les étoiles de Lagos
Dans un quartier populaire de Lagos, la Leap of Dance Academy forme avec passion de jeunes danseurs à la rigueur du ballet classique.
À travers ce reportage, Vincent Boisot souhaite raconter cette histoire de grâce et de résilience, dans un lieu inattendu, où l’art devient un acte de foi, d’engagement et d’émancipation pour toute une jeunesse.
Pascal Kempénar _ J’existe, moi
À Marseille, l’injustice sociale se lit dans l’occupation de l’espace. Tandis que certains accèdent aux plages lointaines, d’autres s’entassent aux abords oubliés de la ville. Cette série capte, au bord de la mer, une jeunesse assignée à résidence, qui trouve dans l’eau, le soleil et le regard de l’autre, un instant d’évasion. Et ce graf récurrent sur les murs de la ville « J’existe moi ».