Rebecca Conway _ Guerre civile et SSPT
Prix Camille Lepage 2022 – Rebecca Conway remporte le prix avec son projet de reportage sur les conséquences de la guerre civile sur la santé mentale au Sri Lanka.
Prix Camille Lepage 2022 – Rebecca Conway remporte le prix avec son projet de reportage sur les conséquences de la guerre civile sur la santé mentale au Sri Lanka.
Olivier Jobard reçoit le prix Camille Lepage en 2020. Son travail, entre photographie et documentaire, explore la temporalité des migrants. En Éthiopie, il rencontre Moustafa, rêvant d’un avenir à Addis-Abeba après avoir échappé à la guerre au Yémen, mais se retrouve à mendier, symbole d’une jeunesse sans perspective.
Thomas Morel-Fort explore l’exil des femmes issues des pays en développement, comme Donna des Philippines, travaillant pour des familles aisées en France. Cette tendance reflète les inégalités croissantes entre nations. Avec près de 10 millions de Philippins travaillant à l’étranger, soit 10 % de la population, les Philippines sont un important exportateur de main-d’œuvre.
Son projet personnel My
Choice Anyway sur les conséquences du défaut d’accès à l’avortement, dans les pays où les
procédures sont illégales, remporte le prix Camille Lepage 2018. Kasia Strȩk a parcouru la Pologne, les Philippines, l’Irlande, Salvador, l’Égypte pour réaliser ce travail au long court.
Témoignage photographique de la montée de la pauvreté en France depuis 2015, mettant en lumière la « France Périphérique » et ses défis sociaux. Pierre Faure a reçu le Prix Camille Lepage 2017.
Pauline Beugnies, photographe et documentariste belge, capture l’essence de l’humain à travers ses reportages au Moyen-Orient. Son travail, centré sur la jeunesse égyptienne et les mouvements sociaux, déconstruit les stéréotypes. Lauréate du prix Camille Lepage, elle collabore avec des médias prestigieux. Son livre « Génération Tahrir » offre un regard saisissant sur la révolte égyptienne de 2011 et la résilience de la jeunesse face à l’oppression.
Romain Laurendeau, prix Camille Lepage 2015. Le 5 octobre 1988, la révolte des jeunes enflamme Bab El Oued en Algérie. Le gouvernement, en réprimant violemment, cède la rue aux islamistes, menant à une décennie de guerre. Aujourd’hui, la paix est revenue, mais les stigmates persistent : pauvreté, chômage, radicalisation et nouvelles drogues. Entre bricolage et trafics, les habitants oscillent entre colère et renoncement, prisonniers d’une histoire sombre et d’un avenir incertain.