Série Noire, un livre une photo mêle street photography en noir et blanc et littérature noire, en associant chaque photo à un livre, par son titre ou son contenu, souvent avec humour. Ce projet rend hommage aux grands noms du roman noir.
Après avoir marqué les esprits en 2023 avec Solidarités _ Ukraine, Jérôme Barbosa revient avec la suite de ce témoignage essentiel : Solidarités et résistances _ Ukraine. Il y raconte la vie en temps de guerre, entre entraide et actes de courage, à hauteur d’humains
engagés face à l’horreur.
Dans une Chine sous surveillance, la jeunesse LGBT cherche à exister malgré la pression.
La nuit devient un refuge, entre bars, rêves de liberté et peur constante. Si certains fuient à Taïwan, d’autres restent, masqués. Mais le régime se durcit : censure, thérapies de conversion, fermeture du centre LGBT de Pékin.
Dans Be Bop Days, Laurence et Sylvain vivent au rythme des années 50, entre rock’n’roll, vintage et esprit de liberté. Leur maison, leurs vêtements, leurs voitures américaines incarnent cet art de vivre joyeux et coloré.
Un cocon hors du temps qui mêle passion, brocante et nostalgie, loin des tumultes du monde actuel.
Le ring, dedans et dehors explore l’univers de la boxe inspiré par la passion familiale et les souvenirs d’enfance. Le photographe y retrouve l’atmosphère authentique des années 60-70 : sueur, rêves, luttes sociales. Un monde souvent modeste, mais profondément humain et riche en valeurs.
Le Royaume de l’aube témoigne d’un mode de vie paysan en voie de disparition, incarné par Jean-Bernard, 78 ans, et Laurence, 63 ans, qui perpétuent un modèle agricole ancestral dans le Finistère sud. Cette série offre un outil de contemplation et de réflexion sur notre rapport au monde.
Avec Trisomique… Et alors ?, Séverine Galus propose une série intime consacrée à sa fille Sidonie, atteinte de trisomie 21. En capturant des instants de sa vie — entre rires, doutes et élans de tendresse — elle invite à porter un autre regard sur la différence. Une démarche sensible pour questionner la norme et déconstruire les préjugés.
Patrick Labarrere consacre une grande partie de son travail photographique à l’Afrique, en particulier à l’Éthiopie, qu’il explore depuis les années 1990. Son objectif capte la dimension humaine et spirituelle de ce pays aux racines profondes. Il s’intéresse notamment aux célébrations religieuses comme le Timkat, l’Épiphanie orthodoxe, où des foules de fidèles se rassemblent autour des sites sacrés, tels que le lac Tana ou Lalibela, la « Nouvelle Jérusalem d’Éthiopie ».
Portraits sincères des gens du voyage par Frédéric Grimaud. Leur culture, leur histoire, et leur volonté de briser les préjugés. Ce reportage met en lumière leur mode de vie, leur attachement à la liberté, à la foi, et à la force de leur communauté.
À Marseille, l’injustice sociale se lit dans l’occupation de l’espace. Tandis que certains accèdent aux plages lointaines, d’autres s’entassent aux abords oubliés de la ville. Cette série capte, au bord de la mer, une jeunesse assignée à résidence, qui trouve dans l’eau, le soleil et le regard de l’autre, un instant d’évasion. Et ce graf récurrent sur les murs de la ville « J’existe moi ».
Angela Poggoni, lauréate du Prix du Public 2024, revient avec son exposition « Vie et mort le long de la rivière Bagmati ». À travers le site sacré de Pashupatinath au Népal, classé UNESCO, elle explore les rites funéraires hindous, les castes et la spiritualité au cœur de Katmandou.
En juin 2024, la nécessité de témoigner de la fermeture de l’école maternelle de sa ville la pousse à élaborer son premier projet photographique individuel, reportage qui aboutit en septembre à une exposition.
Elle aime mêler humour, politique, tendresse, poésie ; déceler la beauté dans le banal et le quotidien.