D’origine normande, Jacques HAMEL vit et travaille à Dax depuis 1991 comme formateur en informatique.
En 1982, une photo d’identité sera le déclencheur qui lui fera découvrir l’art photographique. Cet événement marquant fera que cette passion, qu’il exercera en autodidacte, ne le quittera plus.
Diverses publications et expositions individuelles et collectives :
- « Marines», « Sol y Sombra», « Espagne intemporelle, entre profane et sacré»
- Réalisation de l’affiche du Festival Paso Passion de Dax 2005, 2006 et 2007
- Réalisation de l’affiche du Festival Paso Passion de Dax 2005, 2006 et 2007
- Réalisation de l’affiche des Fêtes de Tyrosse 2007
- Reportage sur la pêche au Portugal exposé au festival photographique de Dax (juillet 2013)
Contact :
www.jacqueshamel.com
photo@jacqueshamel.com
EXPOSITION BARROBJECTIF 2013 : españa : Espagne intemporelle, entre profane et sacré
Étonnemment, ces ambiances antinomiques procurent la même sensation étrange de perte des repères temporels. Au cœur des défilés, ces rituels, qu’ils soient sacrés ou païens, se conjuguent-ils au présent ? Au passé ? Ou dans un temps sans frontière, élargi au point de fusionner toutes les strates des âges passés, présents et à venir ?
La photographie offre à l’artiste l’occasion de fixer ces ombres et lumières croisées dans ces moments magiques, d’en conserver l’empreinte, une fois les bannières et les costumes remisés.
Elle l’accompagne fidèlement au cours de ses voyages dans cette Espagne plurielle, comme la décrit Michel Dieuzaide : « L’Espagne, c’est avant tout le pays des contrastes. On y trouve tout et son contraire au même moment ».
Alors, au fil de ses périples, les images de Jacques Hamel racontent tour à tour, les paysages déserts et des scènes de rue contemporaines, les détails d’arts profanes et le baroque d’une œuvre religieuse, le raffinement de l’architecture andalouse, les rondeurs des moulins de la Mancha et la puissance animale du toro de combat, tous ces lieux chargés de force brute, de beauté et de passion qui expliquent en partie les raisons de ce « Sortilège espagnol » qui le fascine tant.
Cécile Tastet, septembre 2012