Jean-Éric Fabre – Ad Terrae acta : correspondances congolaises
« Ad Terrae Acta » est le récit de ma vie en Afrique, entre le Mayombé et la vallée du Niari au Congo.
« Ad Terrae Acta » est le récit de ma vie en Afrique, entre le Mayombé et la vallée du Niari au Congo.
Éric Dufour est un photographe profesionnel et autodidacte du Beaujolais, spécialisé dans l’architecture urbaine depuis 2006. Lauréat de prix prestigieux, il capture la beauté minimaliste des villes européennes.
Thibaut Derien parcourt depuis 10 ans la France pour immortaliser les petits commerces abandonnés, créant une « ville fantôme » qui révèle la beauté des vestiges d’une époque révolue et critique l’esthétique des zones périurbaines modernes.
Anita De Roquefeuil, photographe freelance née à Bordeaux se fascine pour la Russie et les anciens pays de l’URSS. Entre 2015 et 2017, elle a réalisé un reportage en Sibérie, saisissant un monde en transition. Marquées par l’ère soviétique, ces régions montrent des Sibériens nostalgiques d’une époque où la vie semblait plus simple, face à une jeunesse qui migre vers l’ouest.
Avec un regard tendre, Anne-Marie Croutzet a observé la vie simple des gens pauvres de Géorgie. Elle les a aimés et photographiés, capturant leur courage et leur résilience. À travers « Érrances Géorgiennes », elle révèle un passé culturel riche et un présent tout en magnifiant leur humanité.
Francine Couvret, photographe amateur, participe pour la quatrième fois au festival BarrObjectif. Inspirée par « La vie secrète des arbres » de Peter Wohlleben, elle explore les arbres comme des êtres vivants dotés d’yeux reptiliens. Ils observent les humains, qu’ils jugent responsables de la déforestation et de la pollution. Ses photos, prises dans son jardin, révèlent ces regards mystérieux et alertent sur la menace humaine envers leur habitat.
Dans un contexte de guerre civile religieuse, Bangassou résiste à la division grâce à une Commission de Conciliation unissant chrétiens et musulmans. Malgré les tensions, la ville reste un exemple de paix et de coexistence.
“Le clair-obscur » est un collectif photographique charentais, né en 2013 par la volonté de deux photographes de partager leur passion commune. Mélange des points de vue, sensibilités différentes et originalités des projets sont les sources d’inspiration du collectif.
La ligne de chemin de fer relie Matadi à Kinshasa depuis 1890. Rétablie en 2015, l’artiste Rosalie Colfs témoigne des réalités sociales africaines.
À 3000 km de Moscou, Tomsk, fondée en 1604, était la plus grande ville sibérienne avant Novossibirsk. En février, le froid atteint -25°C. Aujourd’hui, elle allie dynamisme universitaire et architecture variée. La photographie de l’auteur, influencée par ses voyages en Afrique centrale, Népal, Russie, et France, explore l’interaction entre l’homme et son environnement avec une approche esthétique et anthropologique.
Cette série de Matthieu Chazal sur l’Achoura en Iran, immortalise les rituels et la ferveur nationale autour de la mort d’Imam Hussein.
Matthieu Chazal mêle mon expérience de journaliste à ses voyages en Europe du Sud, Turquie, Iran, Irak, et dans le Caucase post-soviétique. Sa série « La Dame à la robe fleurie “ entre espoirs d’indépendance et désillusions, il dépeint un territoire marqué par les fractures politiques et sociales.