Régis Rivière photographie le minimalisme et le graphisme, se concentrant sur l’architecture, les escaliers et le mobilier urbain. Son exposition « Couleurs géométriques » dévoile sa vision de l’urbain, mettant en lumière des structures souvent négligées, influencées par l’évolution constante des villes modernes.
Ce reportage réalisé par Frédéric Riolon sur le circuit des remparts en 2014 à Angoulême, révèle l’étrange alchimie faite d’élégance rétro et de mécanique brutale, de rivalité et de confraternité, qu’éprouve le photographe.
Photographe niçois, Olivier REMUALDO explore la culture indienne depuis 2004. Après des études en commerce et arts plastiques, il se passionne pour l’Inde et réalise le projet « SÂDHUS » à partir de 2009, avec plus de 110 portraits de Sâdhus. En 2011, il réalise un pèlerinage de 600 km dans l’Himalaya.
Cyril Abad, Hervé Begou, Philippe Blayo, Élizabeth Char, Francis Giudice, Marcel Jarron, Gilles Lange, Olivier Macaire, Élisabeth Maurice, James Vil, témoignent de la marche du 11 janvier 2015 pour Charlie Hebdo. Leur série « Où est passé Charlie? » capture l’émotion et la résistance face à l’obscurantisme.
Photoreportage de Fred Pluviaud et Nathalie Gealageas. Le 7 janvier 2015, les attentats de Charlie Hebdo ont provoqué une prise de conscience nationale de l’importance des valeurs républicaines. À Angoulême, comme partout en France, une manifestation a eu lieu, symbolisant l’unité contre l’obscurantisme.
Yves Phelippot, photographe passionné, a remporté le 2e prix au festival de Saint-Benoit en 2013. Les triptyques « Train de Nuit » font écho à notre monde moderne. Voyage intérieur et déplacements, reflétant ainsi l’idée de Paul Virilio selon laquelle l’identité est remplacée par la traçabilité dans un monde en perpétuel mouvement.
Yann Pendariès s’est créé son univers surréaliste « Les tout petits métiers », une série qui incarne divers métiers imaginaires.
Nicolas Orillard-Demaire expose en France et en Europe partagent sa passion pour la Nature. Il cherche lumières et magie, ses photos reflétant la liberté et la beauté du monde.
Émilie Möri travaille sur le portrait créatif. « La série noire » présente des auto-portraits sépia, illustrant émotions et intemporalité.