Cette série photographique explore la quête individuelle aux abords une voie de chemin de fer abandonnée. Le modèle, de dos, symbolise la recherche personnelle de chacun. La série évoque l’errance, la transformation et le départ vers la lumière, un voyage intérieur vers une nouvelle destinée.
De récents voyages aériens en Afrique et en Inde à bord de son ULM, sont de nouvelles sources de découvertes et d’inspiration pour Rodolphe Marics.
Arnaud Maitrepierre affectionne la photographie humaniste, mêlant formes et lumières singulières pour capturer des émotions. Alternant argentique et numérique, il privilégie son Rolleiflex. Sa série « Chemins de traverse » explore les gares, lieux de contraste et d’émotions, allégorie de la vie et de voyages interrompus.
Le territoire ruffécois se modifie suite à l’aménagement de la ligne LGV. Pour garder une mémoire du paysage, un observatoire photographique fait un état des lieux.
L’Association « Camille Lepage – On est ensemble » a été créée le 20 septembre 2014 par les parents de Camille, Maryvonne et Guy Lepage, ainsi que par son frère Adrien, quelques mois après sa mort en Centrafrique alors qu’elle réalisait un reportage. Cette association a pour mission de promouvoir la mémoire, l’engagement et le travail de Camille, d’aider et de protéger les photojournalistes dans les zones de conflit, et de soutenir les populations victimes de ces conflits, conformément aux valeurs de Camille.
Martial Lenoir, photographe de mode et portraitiste, nous présente une série de portraits bovins.
Pasa Imrek, photographe kurde indépendant à Urfa, Turquie, réalise un reportage en mars 2015 sur Kobané, ville syrienne kurde assiégée par l’EI en septembre 2014. Les djihadistes ont détruit 12 écoles sur 15. Les habitants reviennent en janvier 2015 pour trouver des écoles dévastées et une éducation désormais en kurde.
Jean-Paul Houdry, photographe français, explore la banlieue parisienne, héritant de l’esthétique humaniste des années 1940-60. Ses clichés couleur capturent les transformations modernes, exprimant peut-être le désir d’un espace plus libre que celui de la Paris.
C’est au mois de mai que les gens du voyage se rassemblent, face à la mer, aux Saintes-Maries. Ils viennent par milliers vénérer Sainte Sara dont la statue se trouve dans la crypte de l’église fortifiée de Notre-Dame-de-la-Mer.