Photographe de défis, il allie sensibilité artistique et rigueur numérique. Depuis 2005, son travail sur la photo à 360° nous plonge dans ses « petites planètes » fascinantes. Exposé en divers lieux, il est surtout visible en ligne. Contrairement à la photographie traditionnelle, la photo à 360° efface le cadrage et combine plusieurs clichés, offrant une représentation complète de l’espace et une compression du temps.
Cushmok propose ces haïkus visuels, qui invitent à la contemplation sans obligation d’interprétation. Traitées numériquement, elles intègrent parfois des éléments graphiques, tandis que le noir et blanc et le grain prononcé évoquent le passé. Les personnages, souvent l’auteur lui-même, suscitent une lecture poétique ouverte à sa propre l’interprétation.
Vanessa Beucher a réalisé ce reportage sur le festival le plus fou qu’il soit. En 1986, Larry Harvey initia un rassemblement festif à San Francisco, déplacé ensuite dans le désert. En 2010, Metropolis invita artistes et participants à imaginer une cité rêvée, en contraste avec le film de Fritz Lang. Burning Man, alliant expression personnelle et créativité, suit dix préceptes favorisant l’utopie collective.
Nicole Bonnefoy sénatrice et conseillère générale de Charente. nous dévoile la beauté de la Micronésie et son peuple menacé par la montée des eaux.
Restauration de Lola of Skagen au Chantier du Bois Marin à Chaucre, réalisée de la fin octobre 2010 à la mi-avril 2011.
Benoît Caurette, journaliste à Charente Libre depuis 2006, a enrichi son travail par la photographie. Ses clichés, depuis 2008, reflètent l’émotion des âges de la vie, partagés au fil des reportages. Son projet « Grandir, Mûrir, Vieillir » rassemble 21 photos en noir et blanc, capturant l’intemporalité des générations croisées en Charente.
Jean-Pierre Bouron nous propose un exercice de style avec Nosiam. Un toit à deux pentes se révèle sur son chemin et qu’il photographie depuis 3 ans.
Sara Jabbar Allen, photographe franco-iraquienne, explore les différences socioculturelles à travers l’audiovisuel. Depuis 1998, elle se penche sur la vie des Tsiganes des pays de l’est en France, documentant leur quotidien et leurs défis. Elle aborde également les mémoires collectives des ouvriers immigrés en Midi-Pyrénées. Son travail met en lumière les difficultés d’intégration des migrants en Europe occidentale, avec un focus sur les Tsiganes de Bosnie et de Roumanie. Elle cherche à témoigner des réussites d’intégration souvent méconnues. En 1992, des familles roumaines et bosniaques s’installent sur le terrain de Ginestous à Toulouse, puis sont évacuées en 2000 suite à des inondations.
Mikaël Helleux parcourt les côtes pour capturer l’esthétique des lignes, des courbes, des lumières et des interactions humaines et animales. Il exploite la gamme de gris de ses pellicules argentiques pour renforcer le graphisme de ses photos.
Jean-Daniel Guillou a réalisé ce reportage en 2010 à l’IME des Rochers de Soyaux. Mettant en lumière la diversité, il vise à favoriser la compréhension et l’acceptation de l’autre, sans peur de la différence.
Michel Beguin, passionné précoce de photographie, a réalisé un reportage en Asie du Sud. Là-bas, tout est transporté à pied ou à dos d’animaux. Les chemins sont entretenus par les locaux, utilisés pour diverses activités quotidiennes. Respectant profondément les porteurs, il décrit leur dur labeur et les défis de la vie en montagne, contrastant avec les modernisations qui menacent ces traditions.