Évelyne Jousset – Geishas ou regard de soie

Evelyne Jousset est journaliste grand reporter à la télévision. En marge voir en complément de son activité professionnelle la photographie est le moyen qui, depuis de longues années, lui permet de témoigner. De ses voyages elle ramène des photos et des documentaires.

Elle produit une photographie humaniste et poétique. Aussi bien du reportage de terrain à travers le monde, que la photographie de rue. Partout un désir : fixer l’instant, raconter des histoires et montrer ce que l’œil ne voit pas.

Son goût pour la vidéo, le son et la photo lui permet d’explorer toutes les écritures multimédias et d’envisager la création sous un angle global.

Ses photos ont été exposées au Festival du Scoop à Angers, expositions collectives et individuelles, à Nantes Passion Japon, Aventures du Bout du Monde…

Ses films présentés au Festival Etonnants Voyageurs, Festival du film Insulaire de Groix, le Grand Bivouac, Partir Autrement, le Prix Farel en Suisse….

Livres photographiques aux éditions l’Esprit du Monde à Nantes

  • Indiennes (2008)
  • Regard de soie (2010)
  • Japan blues (2011)
  • Retour à Oran  (2012)

Récit de voyages

  • « Voyageuses » co-auteure (2012) Editions Livres du Monde à Annecy

Son site : http://www.evelynejousset.com

L’Esprit du monde production : www.lespritdumonde.com

Exposition BarrObjectif 2012 : Geishas ou regard de soie

Dans le Japon du 3ème millénaire, une tradition se rappelle aux jeunes et à ceux qui l’ont oublié. Les geishas ont nourri les fantasmes les plus fous. Entre réalité et légende par delà les frontières, elles ont marqué une culture quasi universelle. Au Japon on les redécouvre, et on essaie de les faire revivre au plus près de leur histoire. Mais rien ne sera jamais plus comme avant, au pays du soleil levant.

Les geishas d’aujourd’hui, quelques dizaines, sont plus des produits de marketing touristique, que le phénomène d’une société, comme jadis.

Restent l’art, la beauté, l’intelligence qu’elles entretiennent et dévoilent avec volupté au cours de grands évènements. Ou dans les murs d’anciennes maisons de thé préservées du temps qui passe.