Julie De Waroquier cherche dans ses photos le rêve, le mystère, l’étrangeté. Chaque image naît de l’imaginaire, pour troubler le réel et nourrir le regard. Elle explore l’inconscient poétique et collectif, capturant des rêves que l’appareil rendrait visibles au monde.
Isabel Corthier est une photographe freelance belge. Elle documente des reportages et des portraits en Belgique et à l’international. Travaillant avec MSF, Caritas et d’autres ONG.
Le collectif Clair-Obscur nous invite à découvrir au travers cette exposition l’esthétisme de ces lieux abandonnés en Charente. Sans pour autant encourager le public à leur exploration non autorisé.
Henri Coldebœuf est photographe amateur passionné depuis 1975, il captura des instants de vie durant les manifestations et événements du Limousin.
Joana Choumali est une photographe ivoirienne. Sa série sur des jeunes non-voyants issus de milieux modestes, réalisée sur 2 ans à Yopougon, montre leur lutte contre les préjugés et leur quête d’autonomie à travers la danse, le théâtre et le chant, grâce à l’ONG OES’42:16.
Matthieu Chazal, documentariste depuis 2012, explore la ruralité en Charente à travers des séries de photos en noir et blanc. Son projet « Les Apprentis » documente la vie des jeunes se formant à l’agriculture à la MFR de La Péruse. Ces futurs agriculteurs apprennent dans des exploitations locales, certains envisageant de reprendre des fermes familiales.
La situation en Ukraine « Les révoltés de Maiden » couvert par Éric Bouvet lauréat du Visa d’or news à Visa Pour l’Image en 2012.
Nicole Bonnefoy, Conseillère générale et Sénatrice de la Charente, est une photographe amateur passionnée. Ces photos illustrent la richesse culturelle de Cuba, de La Havane, ainsi que la force et la chaleur humaine de son peuple.
Cette série de Françoise Barbaras explore l’énigme de Clara, une jeune fille qui quitte l’enfance et perd la complicité avec les choses. Elle se tourne vers un avenir incertain, celui d’une femme, sans en saisir pleinement la signification. Son regard, perplexe, reflète une interrogation sur la nature de la féminité.