Étienne Mariaud – Crazy stripes
Étienne Mariaud réalise chaque semaine des autoportraits et mêle avec humour des trompe-l’œil de sa marinière.
Étienne Mariaud réalise chaque semaine des autoportraits et mêle avec humour des trompe-l’œil de sa marinière.
« Chemins de mémoire » est un projet collaboratif entre étudiants de deux écoles de photographie. Des étudiants québécois ont visité la France pour créer des œuvres sur les vestiges de la Grande Guerre avec des étudiants français. De leur côté, des étudiants français sont venus à Montréal pour photographier les descendants des soldats canadiens de la Grande Guerre.
Jérémy Lempin décrit l’ambiance passionnée des supporters du Racing Club de Lens, en particulier les Red Tigers 94, dans le stade Bollaert. Ces fans chantent, crient et soutiennent inlassablement leur équipe, tant à domicile qu’en déplacement.
Le guêpier d’Europe bien qu’assez rare sur notre territoire, arrive en mai en Charente. Il se reproduit, puis migre en août pour hiverner dans la savane africaine.
Brice Le Gall, photographe parisien s’oriente vers la photographie social et l’humaniste. Il capture les mobilisations sociales en France, notamment contre la réforme du code du travail en 2016, puis celle des retraites. Ses clichés, témoins de diverses revendications, expriment une tonalité anticapitaliste.
À l’occasion des 20 ans du festival, l’exposition « La guerre des signes » de Bénédicte Kurzen a été installée. Le reportage décrit, à bord d’un hélicoptère,les difficultés de traquer des rebelles cachés dans une vaste forêt entre le Soudan du Sud et le Congo.
La vallée de l’Omo abrite plus de vingt ethnies, dont les Hamar, éleveurs nomades. Leur rite initiatique, l’Ukuli, marque le passage à l’âge adulte. Le jeune initié endure chants, danses, flagellations et saut de vache pour prouver sa virilité. Les femmes participent en se flagellant volontairement, dansant et buvant pour surmonter la peur et la douleur.
Yulia Grigoryants, photographe primée, documente les réalités sociales mondiales, notamment à Gyumri, capitale de l’Arménie, toujours marquée par le séisme de 1988.