Michel Lamothe – Prix St Benoit – La main… des mains pour dire
Michel Lamothe, photographe amateur depuis 40 ans. Dans cette série il photographie la vie des personnes sourdes aveugles en mettant en avant la symbolique de la main.
Michel Lamothe, photographe amateur depuis 40 ans. Dans cette série il photographie la vie des personnes sourdes aveugles en mettant en avant la symbolique de la main.
Laurence Fleury, journaliste indépendante, se consacre aux Pyrénées et aux estives, réalisant un documentaire en 2015 et un projet photo. Fascinée par les rencontres, elle témoigne de la montée des femmes dans le pastoralisme. Jadis masculin, ce métier attire désormais de nombreuses femmes, en quête d’une vie plus authentique.
« Ad Terrae Acta » est le récit de ma vie en Afrique, entre le Mayombé et la vallée du Niari au Congo.
Éric Dufour est un photographe profesionnel et autodidacte du Beaujolais, spécialisé dans l’architecture urbaine depuis 2006. Lauréat de prix prestigieux, il capture la beauté minimaliste des villes européennes.
Thibaut Derien parcourt depuis 10 ans la France pour immortaliser les petits commerces abandonnés, créant une « ville fantôme » qui révèle la beauté des vestiges d’une époque révolue et critique l’esthétique des zones périurbaines modernes.
Anita De Roquefeuil, photographe freelance née à Bordeaux se fascine pour la Russie et les anciens pays de l’URSS. Entre 2015 et 2017, elle a réalisé un reportage en Sibérie, saisissant un monde en transition. Marquées par l’ère soviétique, ces régions montrent des Sibériens nostalgiques d’une époque où la vie semblait plus simple, face à une jeunesse qui migre vers l’ouest.
Avec un regard tendre, Anne-Marie Croutzet a observé la vie simple des gens pauvres de Géorgie. Elle les a aimés et photographiés, capturant leur courage et leur résilience. À travers « Érrances Géorgiennes », elle révèle un passé culturel riche et un présent tout en magnifiant leur humanité.
Francine Couvret, photographe amateur, participe pour la quatrième fois au festival BarrObjectif. Inspirée par « La vie secrète des arbres » de Peter Wohlleben, elle explore les arbres comme des êtres vivants dotés d’yeux reptiliens. Ils observent les humains, qu’ils jugent responsables de la déforestation et de la pollution. Ses photos, prises dans son jardin, révèlent ces regards mystérieux et alertent sur la menace humaine envers leur habitat.
Dans un contexte de guerre civile religieuse, Bangassou résiste à la division grâce à une Commission de Conciliation unissant chrétiens et musulmans. Malgré les tensions, la ville reste un exemple de paix et de coexistence.
“Le clair-obscur » est un collectif photographique charentais, né en 2013 par la volonté de deux photographes de partager leur passion commune. Mélange des points de vue, sensibilités différentes et originalités des projets sont les sources d’inspiration du collectif.
La ligne de chemin de fer relie Matadi à Kinshasa depuis 1890. Rétablie en 2015, l’artiste Rosalie Colfs témoigne des réalités sociales africaines.