Philippe Frétault est un photographe de spectacle vivant. En esthète, il entre dans la danse du water-polo et dirige son objectif sur les bouillonnements aquatiques pour nous montrer la puissance et la grâce de ce sport.
Alain Schroeder, photographe belge avec 40 ans d’expérience, se consacre aux reportages sociaux et environnementaux. Ses portraits illustrent la menace de la montée des eaux au Bangladesh.
Fallou Diop, 19 ans, star nationale du Sénégal, enchaîne les victoires en tant que jockey et inspire une jeunesse en quête d’avenir. Ce reportage, réalisé par Thomas Morel-Fort pour L’Équipe Magazine, a remporté plusieurs prix internationaux.
Le jury doit choisir 20 photographes parmi un grand nombre de propositions reçues. 354 candidatures, cette année.
Composition du jury de la 23e édition avec José Nicolas, Sophie Bourgeix, William Stevens, Pascale Gadon-González et Serge Sanchez.
Peter Turnley, photographe renommé, capture la condition humaine à travers ses clichés. Couvrant plus de 90 pays, il a documenté des conflits mondiaux et immortalisé des figures influentes comme Obama et Mandela. Installé à Paris depuis 1975, il a exposé ses œuvres à travers le monde et publié plusieurs livres, dont « Cuba : A Grace of Spirit ». Diplômé de l’Université du Michigan et de la Sorbonne, il a reçu des doctorats honorifiques et des prix prestigieux pour son photojournalisme.
Alain Keler de l’agence MYOP, invité d’honneur de la 22e édition du festival de photoreportage Barrobjectif. Samedi 16 sept à 20h30 conférence sur son travail photographique.
Un jury composé de 5 personnes issues du monde l’image, s’est réuni pour examiner les nombreuses dossiers reçus, suite à l’appel à candidatures lancé du 1e novembre à fin février 2023. Vingt auteur·es de reportage photographique ont été retenu·es. Découvrez-les !
Chantal Serène est inspirée par la peinture du XVII au XIX siècle et du monde des Arts et Traditions populaires. À la manière de Rembrandt, avec le médium photographique, Chantal compose ses portraits intimistes des habitants de la région des Maramures, située dans le nord-ouest de la Roumanie.
Natalya Saprunova est originaire de la Russie arctique sur la péninsule de Kola. Elle nous expose la situation des Saamis de Russie, originaire de la même région qu’elle, et qui ont perdu leur autonomie nomade avec l’arrivée du pouvoir soviétique, dans les années 1920. Ce peuple vivait à leur rythme naturel dans la toundra. Déplacés, sédentarisés, les Saamis sont de moins en moins nombreux et leur culture est tenue à bout de bras.