Josyane et Alain Cassaigne, photographes free-lance, ont collaboré sur des projets humains et sociaux. Leur travail, salué pour son engagement et sa sensibilité, inclut de nombreuses expositions et livres. Dans “la part de l’obscur“ il y a des visages, des figures, des visages défigurés, des figures dévisagées…
« À quoi pense-t-il ? » est une réflexion photographique sur notre environnement, que ce soit en ville ou à la campagne. Observant les gens, nous nous demandons « À quoi pense-t-il ? », projetant nos propres émotions sur eux. La série, réalisée avec un Rolleiflex et de la pellicule tri-X400, capture ces instants spontanément au fil de la vie quotidienne.
Photographe professionnel depuis 1976, il se tourne vers la photographie humaniste en N&B en 2004, privilégiant les expositions. En janvier 2014, il documenté en argentique le pèlerinage des juifs orthodoxes à Lelow, en Pologne.
Pierre Delaunay, photographe basé à Ruffec, se distingue par son approche humaniste et sa passion pour le portrait. Il croit fermement que la véritable essence de la photographie réside dans la relation humaine plutôt que dans la technique. En février 2014, il a visité l’Inde et a réalisé une série de photographies saisissantes à Calcutta, Bénarès et dans les Sundarbans, le delta du Gange. Ces images en noir & blanc, empreintes de profondeur et de sensibilité, illustrent parfaitement la philosophie de Delaunay.
Photographe animalier depuis 1976, je collabore avec ma femme Dominique Simon pour mes ouvrages. Depuis 2004, je me consacre à la photographie humaniste en noir et blanc, en argentique, capturant des nomades comme les Toubous au Sahel. Mon travail vise à montrer la sérénité et le bonheur de ces peuples.
Alessio Romenzi, photojournaliste basé au Moyen-Orient, a couvert le Printemps Arabe avec un intérêt particulier pour l’Égypte, la Libye et surtout la Syrie. Ses clichés, publiés mondialement, documentent les ravages de la guerre civile syrienne sur les civils, capturant des moments intimes et tragiques pour sensibiliser à cette crise persistante. Prix Lucas Dolega 2013
Théo Pinganaud, photojournaliste couvre depuis 15 ans l’actualité nationale et internationale. Il est aussi photographe de plateau, enseignant de photojournalisme et co-fondateur du festival BarrObjectif. Son reportage sur le dernier jour d’un médecin de campagne en Charente illustre son engagement à documenter des histoires humaines.
L’inde développe un modèle économique fondé en partie grâce à ces millions d’hommes et enfants que l’on peut ne payer trois fois rien. En 2012, 80 millions d’enfants sont abandonnés à leur sort. Douze millions travaillent chaque jour dans des emplois dits « à risques ». Julien Ermine pose un constat alarmant !
Alain Verspecht discute avec Jasmine Debels de la visualisation de la « force », soulignant que la force intérieure est difficile à percevoir sans connaître la personne. Il estime que participer à des séances photo et partager des moments intimes demande une grande force. Alain, diagnostiqué avec la SLA en 2006, a fondé une association pour aider d’autres patients.
Pierre Delaunay a remporté le concours d’Arterre avec sa mosaïque photographique de quatre mètres sur deux, qui sera exposée en permanence à Bioussac. Son œuvre symbolisant la mémoire et la force, met en miroir des visages familiers et des éléments liés à la tempête, provocant émotion et reflexion.
Né en 1923 à Lyon, Marc Riboud, célèbre photographe, a parcouru le monde pour l’agence Magnum Photos. En 2002, il reçoit le prix « Life Time Achievement ». En 2004, une exposition rétrospective de son travail à la Maison Européenne de la Photographie. Pour BarrObjectif, il rassemble une série qui mélange humour et réflexion.