Richard Tallet – Saoulographie
Richard Tallet, 40 ans, journaliste, il trouve dans les moments d’abandon une mise à distance du réel en photographiant au fond des verres. Vision kaléidoscopiques, mêlant technologie moderne et nostalgie vintage.
Richard Tallet, 40 ans, journaliste, il trouve dans les moments d’abandon une mise à distance du réel en photographiant au fond des verres. Vision kaléidoscopiques, mêlant technologie moderne et nostalgie vintage.
Stéphane Ruet a suivi François Hollande pendant 400 jours, de sa déclaration à l’investiture le 31 mars 2011, jusqu’au soir du second tour de l’élection présidentielle. Une avant première pour BarrObjectif.
Lionel Raude, en tant que touriste, plonge dans une immersion totale et absurde du réel, un territoire sans frontière où règne l’idiotie. Le réel, insaisissable et idiot par essence, échappe à toute analyse. Armé de son appareil photo, il explore deux symboles du 20ème siècle : l’URSS et les États-Unis, sans chercher à distinguer le vrai du faux.
Photographe professionnel à Couzeix, Philippe Pécher est allé à Venise, là où les lumières éclairent des sites somptueux, classés UNESCO et activant un tourisme étouffant.
Depuis 2001, Frédéric Pluviaud, photographie la scène musicale angoumoisine et réalise des portraits intimistes d’auteurs au festival Musiques Métisses.
Emilio Morenatti, photojournaliste espagnol, a couvert des événements mondiaux majeurs, des Jeux Olympiques à la guerre d’Irak. Malgré un enlèvement en 2006 à Gaza, il a continué à recevoir des distinctions, dont le titre de Photographe d’Actualité de l’année en 2008. Blessé gravement en Afghanistan en 2009, il perd son pied gauche. Basé à Barcelone, il a reçu le prix Lucas Dolega cette année 2012 pour son travail sur les réfugiés lors de la révolution libyenne.
De 1990 à 1994, Patrick Mesner a couvert les élections algériennes, marquées par des tensions et des promesses de démocratie. Après l’annulation du deuxième tour, les islamistes ont intensifié la violence. En 1993, Mesner a obtenu un visa d’écrivain pour documenter la terreur en Algérie, de la Kabylie à la frontière marocaine.
En 1956, 1200 Français d’Indochine, dont 740 enfants, arrivent à Sainte-Livrade-sur-Lot, transformant un camp militaire en « Petit Vietnam ». Le Centre d’accueil des rapatriés d’Indochine (CARI) offre des baraquements sommaires. Fabrice Lépissier, photographe indépendant, inspiré par son père globe-trotter, capture des scènes de vie pour sensibiliser sur les injustices contemporaines.