
Gaël TURINE est Belge et vit à Bruxelles.
Après douze ans de travail en freelance, j’ai rejoint l’agence VU en 2006 où j’ai été sociétaire pendant neuf ans, avant de co-fonder l’agence MAPS en 2017, que j’ai présidée durant trois ans. Aujourd’hui, je représente mon travail de manière indépendante.
Parallèlement à mon activité de photographe, j’enseigne le photojournalisme à l’école de journalisme de l’Université Libre de Bruxelles et anime des ateliers de photographie documentaire dans différents pays, notamment en Haïti, en Turquie et au Sénégal.
Je suis l’auteur de plusieurs livres, dont Le Mur et la Peur et Aveuglément dans la collection Photo Poche, ainsi que Vaudou, Avoir 20 ans à Kaboul, En bas la ville (sur Port-au-Prince) et Traces.
Mon travail est exposé dans des galeries, musées et festivals. Mes essais et reportages sont publiés dans des médias internationaux tels que Le Monde, The New York Times, Stern, Figaro Magazine, L’Espresso, Geo, De Standaard ou Newsweek Japan. J’ai également reçu plusieurs prix et bourses en Europe et aux États-Unis.
Depuis 2020, je réalise aussi des reportages journalistiques pour la chaîne ARTE.
Prix RSF de la photo _ Lucas Dolega/SAIF
Le Prix RSF de la Photo “Lucas Dolega-SAIF” est destiné aux photojournalistes professionnels. Son but est de soutenir et d’encourager leur travail, exercé dans des conditions difficiles ou sur des zones à risques. Il récompense un.e photographe qui, par son engagement personnel, son implication sur le terrain et la qualité de son travail, aura contribué de manière notable à la défense ou à la promotion de la liberté de la presse dans le monde.
Organisé en partenariat avec la SAIF, le Prix RSF de la Photo “Lucas Dolega-SAIF” récompense un·e photographe d’une dotation SAIF d’une valeur de 10 000 euros et d’une parution dans l’album de Reporters sans frontières.
EXPOSITION BARROBJECTIF 2025 : Les ravages de la Tranq

Au cours des 30 six derniers mois, une personne est morte d’overdoses toutes les cinq minutes aux États-Unis. Alors que l’épidémie d’Opioïdes se poursuit, un nouveau cocktail appeler « Tranq » a encore aggravé la situation : il est environ 50 fois plus puissant et addictif que l’héroïne. Le quartier de Kensington à Philadelphie est l’épicentre de la vente de la consommation de Tranq sur la côte est des États-Unis.
