Vendredi 13 janvier à 20H30 à la salle des fêtes de Barro (entrée gratuite)

Pédro et Sophie de « Voyage en marche » qui ont exposé à BarrObjectif 2016 nous présenteront le film de leur aventure et échangeront avec le public sur leur voyage à pied. 400 jours, 350 nuits en bivouac, et 7000 kilomètres. Sophie Latapie et Pierre-Antoine Raimbourg se sont lancés dans un périple à pied à travers le monde.

Ils nous entraînent dans leur aventure et nous font partager leur passion pour la marche.

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La bande annonce du film :

Un extrait du film voyage en marche : 

Venez nombreux prolonger avec nous la magie de BarrObjectif !

Vendredi 13 janvier 2017 à 20H30 à la salle des fêtes de Barro
(entrée gratuite)

A très bientôt

Hommage à Marc Riboud

Hommage-Marc-Riboud

En septembre 2016, Le festival a rendu hommage à Marc Riboud, qui venait de nous quitter peu avant, le 30 août 2016.

Mark-Riboud était l'invité d'honneur du Festival Barrobjectif en 2009.

Marc-Riboud était l’invité d’honneur du Festival Barrobjectif en 2009.

Nous avons retrouvé l’interview de Marc Riboud par Thierry CORDEBŒUF pour la Charente Libre.

Article Charente Libre du 18 septembre 2009 sur Marc Riboud

14 novembre 2009, 22:18

L’ÉTERNEL VOYAGEUR FAIT UNE PAUSE À BARRO
Marc Riboud, figure du photo reportage, participe dimanche à Barr0bjectif. Toujours entre deux avions, à 86 printemps.

Affiche2009Barrobjectif -Marc Riboud

18.09.2009
Thierry CORDEBŒUF

Marc Riboud arrive de Rome où il supervisait la sortie d’un ouvrage sur le Tibet et se prépare à partir en Chine une nouvelle fois. Avant, il était à New York pour une énième exposition, alors que le musée de la vie romantique de Paris lui consacrait une rétrospective. Entre-temps, l’octogénaire a achevé un ouvrage sur l’Algérie et s’envolera bientôt pour l’Arabie Saoudite. Toujours en mouvement, toujours à l’affût, appareil en bandoulière. A 86 ans. Son obsession: «Photographier le plus intensément possible la vie la plus intense».

Entre deux avions, entre deux reportages, Marc Riboud passe quelques heures à Barro, dimanche. Cette figure de l’agence Magnum, dont il fut le président, a accepté de parrainer la dixième édition du festival charentais. Dans la prairie de Barro livrée à la photographie pendant dix jours, l’invité vedette présente une sélection de clichés en format géant regroupée sous le titre: «Mieux vaut en rire». Une aubaine pour un événement culturel qui fête dimanche son dixième anniversaire en compagnie d’un observateur à la fois intransigeant et tendre du siècle passé et du début de ce XXIe. Eternel voyageur hors d’âge qui continue plus que jamais de vivre d’un bout à l’autre de la planète, de Porto Alegre à Barro.

Vous êtes l’invité d’honneur de BarrObjectif. Qu’est ce qui vous amène en Charente, pour présenter quoi ?

Marc-Riboud-Eric-Bouvet

Marc-Riboud et Eric-Bouvet – 2009

Marc Riboud. On m’a invité, donc je viens. Pourquoi j’aurais refusé ? J’avais entendu parler de Barro par des amis photographes à Arles. Pour cette exposition en plein air, j’ai choisi des photos drôles, la plupart inédites. En ces temps de morosité, les gens ont besoin d’humour.

Vous préparez un livre sur l’indépendance de l’Algérie. Plus de quarante-cinq ans après, pourquoi ?

M.R. C’est la volonté de deux maisons d’édition, une française et une algérienne, qui m’ont contacté pour réaliser un livre bilingue sur l’indépendance, avec des textes en français et des textes en arabe. C’est une première, je crois. J’ai couvert les deux dernières années de la guerre d’Algérie, 1961 et 1962, et la bataille de l’indépendance. Je faisais la navette entre Alger et Paris pour apporter mes films et les développer. Je dormais la nuit dans le labo et je reprenais l’avion le matin.

Quel cliché vous a le plus marqué pendant ces deux années ?

M.R. C’est la photo qui illustre la couverture du livre: l’explosion de joie du 5 juillet 1962, quand l’indépendance est proclamée. Je me suis retrouvé au beau milieu d’une foule de milliers de jeunes gens qui dévalaient une colline d’Alger en chantant avec des drapeaux. J’étais tout seul, je pensais aux centaines de milliers de morts de cette guerre, des deux côtés. Je craignais un peu un acte de revanche, mais deux jeunes m’ont aidé à monter sur un camion pour faire mes photos.

Marc Riboud devant les photos de Christopher Anderson

Marc Riboud devant les photos de Christopher Anderson – 2009

Le Tibet est le thème d’un autre livre qui sortira à Noël. Vous en avez publié combien ?

M.R. Je n’en sais rien, une quarantaine je pense. Pour le Tibet, j’ai retrouvé un reportage en couleur que j’ai réalisé il y a vingt-deux ans. Je pensais l’avoir perdu. La maison d’édition Acte Sud a souhaité les publier. Je reviens d’ailleurs d’Italie, où il y a d’excellents imprimeurs, pour veiller à l’impression de cet ouvrage.

Après Barro, vous retournez en Chine. Pour quel journal ?

M.R. Mais je ne sais pas, je ne travaille pas à la commande. Il existe des photographes qui ne lèvent pas leurs fesses si on ne leur commande pas un sujet. Moi, j’ai donné aux journaux l’habitude de faire d’abord les reportages, puis de leur proposer. Ils ne prennent aucun risque.

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Marc Riboud – 2009

Vous avez 86 ans et vous travaillez encore ?

M.R. Qu’est ce que vous voulez que je fasse d’autre ? Faire des photos, ce n’est pas un travail, c’est un plaisir, même si j’ai souvent vu des gamins mourir à côté de moi. Quand je suis dans ma maison en Touraine, je me promène. Le reste du temps, je fais des photos, je m’amuse.

Liste des photographes 2016

Liste des photographes sélectionnés pour l’édition Barrobjectif 2016.
L’invité d’honneur, pour cette nouvelle édition, est le photographe Cédric GERBEHAYE de l’Agence VU.

Rafael Yaghobzadeh – Ukraine / Guerre des tranchées

Stars wars


Des combattants pro-russe regardent à travers des lunettes de vision nocturne, la position de l’armée ukrainienne, sur la ligne de front à Seminvka, en Ukraine, le 22 mai 2014.

Rafael Yaghobzadeh, né en 1991, à Paris, a grandit dans une famille cosmopolite et dans le milieux du journalisme, depuis son plus jeune. Intéressé par les enjeux politiques, économiques et sociaux qui l’entoure, il décide en 2011 de suivre des études d’Histoire mais la tentation de couvrir les révolutions arabes en Tunisie et en Egypte est plus forte.
photo photographeDepuis Rafael a voyagé en Turquie, dans les Balkans, en Inde, en Arménie, en Israël et Palestine. Depuis 2014, il documente la crise en Ukraine de Maïdan, à la Crimée, au Donbass en se penchant sur les maux et les changements de la société. Rafael collabore régulièrement avec Le Monde, Le Nouvel Observateur, Paris Match, VSD, La Vie, Grazia, Fisheye, Neon. Il intègre le studio Hans Lucas, en 2013.

EXPOSITIOIN BARROBJECTIF 2016 : Ukraine / Guerre des tranchées

Rafael_Yaghobzadeh-tranchée


Vue sur les tranchées de l’ancienne ligne de front, près de Debalsteve, la situation dans la région reste précaire depuis les accords de Minsk II, en Ukraine, le 17 mai 2015.

L’armée ukrainienne et les forces pro-russe se livrent à une guerre de position dans l’est de l’Ukraine sans précédent. Depuis avril 2014, la région du Donbass est prise dans une guerre meurtrière. Des centaines de volontaires intègrent des bataillons ou rejoignent l’armée régulière pour défendre le Donbass. D’un côté et de l’autre des lignes de contact, les combats ont déplacé plus d’un million de personnes et ont tué plus de neuf milles personnes depuis le début des violences. En février 2015, de nouveaux accords de Paix sont signés à Minsk, pour un retrait des armes lourdes, la mis en place d’échanges de prisonniers, une création d’un gouvernement provisoire à l’est, la restauration des frontières de l’Ukraine… Un an plus tard, dû à des crises politiques au sein des gouvernements des deux parties, la situation est toujours aussi critique.

Rafael_Yaghobzadeh_enregistrement-voix


Aleksandr Bessonov, 32 ans, militaire dans l’armée ukrainienne à Markinka et radio pirate, il travaille désormais dans la radio Army FM, basé à Kiev, pour soutenir les troupes et paré la propagande russe dans l’est de l’Ukraine.

Gilles Vautier – Myself, un portrait avant tout…

Myself - Mais encore ? 2

Autoportrait-Vautier

Parcours unique, riche et varié : c’est le chemin de Gilles Vautier. Né en 1962, il se retrouve très vite confronté au monde de l’écriture et de la politique, son père, Patrice, étant journaliste au Canard Enchaîné. Quand d’autres gamins connaissent une enfance normale, bercée par Zorro et Flipper le Dauphin, celle de Gilles sera légèrement différente : l’affaire des micros du Canard, le scandale des Diamants de Valery Giscard d’Estaing, dévoilée par son père (aussi), font partie d’une succession d’histoires qui émailleront le quotidien du garçon.
Pour faire plaisir à ses parents, Gilles fera des études américaines avant de s’engager dans la voie brillante de la finance internationale. Avant de se laisser séduire par les sirènes du spectacle par le biais de l’Humour.
D’abord sociétaire du Carré Blanc, où il va rencontrer des personnalités naissantes comme Bruno Salomone, Dani Boon ou Jean Dujardin, Gilles va entrer dans le monde extravagant de la télévision. Pendant près de huit ans, il sera la voix et l’humour de l’extra-terrestre Bill, du BigDil. L’inconnu le plus célèbre de France, disait-on alors.
Toutes bonnes choses ayant une fin, Gilles Vautier arrêtera sa collaboration artistique d’alors avec Jean-Luc Reichmann pour se consacrer pleinement à sa passion de toujours la photographie.

Pour Getty Images, il suivra la campagne présidentielle de 2012 de très près. Il apprendra en deux ans ce que certains photographes apprenant en cinq ans : Photographier vite, bien et raconter une histoire immédiatement.

En 2011, Gilles Vautier créera sa nouvelle forme de portrait : les Myself. Mélange décalé et fun, toujours esthétique et beau, les Myself se veulent une version inédite de sa propre notion de cette discipline exigeante de la photo. Il y a souvent plusieurs lectures, rendues obligatoires non seulement par la personnalité du photographié mais aussi par le foisonnement de détails et de codes que l’artiste cache dans les Myself.

http://www.monsieurmyself.com/Myself / Gilles Vautier

Bientôt, pour notre plus grand plaisir, vous découvrirez la série des Myself.

So, Be Myself, people will love you.

Myself / Gilles Vautier

EXPOSITION BARROBJECTIF 2016 : Myself, un portrait avant tout…

La photographie et l’écriture sont les deux arts les plus complémentaires pour raconter une histoire. Y a-t il meilleur mariage pour illustrer et souligner un visage, un paysage, un sentiment, un moment important ?
Pour la série des Myself, Gilles Vautier conjugue non seulement plusieurs histoires en une seule mais aussi, redéfinit la base même du portrait.
Celui-ci, souvent statique et d’allure officielle, ne reflète pas forcément la richesse complexe et chaleureuse de son sujet.
Myself, c’est une autre vision de soi, un regard décalé mais toujours esthétique, sur sa propre image. Myself, c’est vous, c’est nous. C’est le choix de se mettre en scène, de choisir son cadre idéal. En choisissant de représenter plusieurs fois le même sujet, c’est un portrait à multiples facettes qui est proposé. Toutes les envies et les rêves, les fantasmes et autres décalages de la réalité sont abordées – et abordables – sur une seule photo. Tout est donc envisageable. Il n’y a pratiquement pas de limites. Plusieurs personnalités derrière un seul et même visage, n’est-ce pas là l’essence même de la psychologie humaine ?
Après vingt années passées au sein de la télévision, en écrivant des sketchs et en interprétant des personnages loufoques, Gilles Vautier tourne la page sur un métier pour en commencer un autre : la photographie.
Passionné par la vision figée du quotidien, il commence sur les chapeaux de roues en collaborant avec Getty Images d’abord et Abaca France ensuite, couvrant de très près la campagne présidentielle. Malgré des parutions régulières dans la presse nationale, il comprend que sa créativité ne se conjugue pas trop avec le sérieux de la classe politique française.
Depuis, Gilles Vautier réalise la série des Myself.
Pour vous. Même si ça commence par lui.

Myself oblige.
Mail

Patrick Valleau – New York, instants éphémères

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Patrick Valleau photographe portraitiste est installé à Saint-Jean-de-Luz et Capbreton.

C’est grâce à son professeur de maths qu’il découvre la photographie au club photo de son collège à Capbreton.
Depuis lors, guidé par la diversité des humains, il est devenu photographe portraitiste, passionné par son métier mais aussi par les rencontres.

 

 

 


 

Les rires des enfants, la complicité d’une famille, les regards amoureux… Tous ces moments si particuliers et si personnels, il aime les retranscrire en images. Ce que recherche Patrick Valleau avant tout, c’est faire plaisir.

 

Olivier Touron – Écosse

©Touron-Ecosse-rails

Olivier Touron
 est né en 1969 en France. Il suit un cursus universitaire le destinant à enseigner les mathématiques, quand il décide de changer de voie et de faire de sa passion son métier.

En 1999, il intègre donc l’EMI-CFD et devient photojournaliste indépendant. Aujourd’hui basé dans le nord de la France, près de Lille, il multiplie les collaborations avec la presse magazine française et internationale (Géo, Libération, L’Humanité, Le Monde, Le Monde Diplomatique, L’Express, VSD, Pèlerin, La Vie, Marianne, Marie-Claire, STERN, De Morgen, Financial Times, Newsweek Japan…)
Ses travaux personnels, notamment sur la révolution tunisienne, les mineurs et la justice, les Kurdes, ou encore Les Sœurs de la Perpétuelle Indulgence, sont diffusés au travers d’expositions et de livres. Son moteur principal : donner à voir celles et ceux qui n’acceptent pas la fatalité, refusent de se résigner, s’indignent et se battent… restent debout, envers et contre tout.Royal Scotsman Belmond : le voyage de l'ouest
Animé par le désir de transmettre sa passion, il encadre des ateliers liés au rôle de l’image dans la société auprès de publics de tous âges et de tous horizons, et milite au travers d’associations comme Freelens.
Depuis 2008, l’Institut Catholique de Lille lui a demandé de créer, d’animer et de développer, en tant que chargé d’enseignement, un cours auprès des étudiants en master Journalisme de la Faculté Libre des Sciences Humaines.
En réflexion constante et très concerné par les bouleversements que traversent les médias et le photojournalisme en particulier, il veille à se former régulièrement aux nouvelles pratiques de son métier : WebDocumentaire (EMI-CFD 2011), son pour le web (EMI-CFD, 2009).
Pour lui permettre de financer en partie ses recherches, il lui arrive par ailleurs de répondre à des commandes corporate (portraits, reportages), en direct avec les entreprises (Veolia) ou par le biais d’agences.

EXPOSITION Barrobjectif 2016 : L’Écosse

Chez nous, à Géo, deux univers de confrères et consoeurs collaborent avec notre mensuel : le petit monde, bien chanceux, du journalisme de tourisme, habitués au faste de la grande hôtellerie et au tapis rouge que leur tirent les tour-operateurs vers les endroits les plus préservés et précieux de notre petite planète ; et celui, moins confort, plus à l’arrache, des professionnels envoyés sur des terrains difficiles, qu’il s’agisse d’aborder de plus épineuses questions géopolitiques, environnementales ou  sociétales pour un lectorat qui cherche pourtant à rêver. ©Touron-Ecosse-trainLe photojournaliste Olivier Touron appartient à cette seconde catégorie de professionnels : pas froid aux yeux et un regard d’une grande chaleur et acuité. Alors quand il s’est agit de traverser le rubicond pour embarquer à bord du plus luxueux des trains à sillonner l’Ecosse,  il ne s’est pas fait prier. Moi non plus d’ailleurs. Je ne connaissais pas personnellement Olivier avant de monter avec lui à bord de ce six étoiles Edwardien sillonnant les Highlands, parmi un aéropage de britanniques, disons du genre conservateur en vacances, au moment même ou l’Ecosse s’apprêtait à envoyer au parlement d’Holyrood une majorité-un tsunami- de députés du Scottish National Party. Durant ce voyage en palace sur rails, nous avons lié amitié. Bien sur, nos pensées furent aussi tournées vers ceux et celles-pour moi ce fut particulièrement ma mère, vivant sur la Rochelle, et mon épouse, très jalouse avec qui nous n’aurons jamais l’occasion de mener cette itinérance.Touron-Ecosse-train-femme

En tout cas, les images d’Olivier leur permettent de vivre par procuration ces quelques jours et nuits rythmés par l’excellence du service, le raffinement de la haute-cuisine, l’exotisme des grands malts, et surtout cette lenteur devenue aujourd’hui l’apanage du nouveau luxe.

Le regretté jeune photographe Dan Eldon, tué en 1993 à Mogadiscio, Somalie, disait the Journey is the destination. C’est le voyage qui est une destination. Slainthe Mhath Olivier !

Site de Olivier Touron

Mail de Olivier Touron

EXPOSITION BARROBJECTIF 2015 : Les anges gardiens de la Nature en Poitou-Charentes et Pays-de-Loire

EXPOSITION BARROBJECTIF 2014 : Les vacances à l’usine !

Théo Synchro X – Making of du film « Saint Amour »

Théo est né en 1971 à Soyaux (Charente), il vit et travaille à Angoulême. Photographe reporter indépendant depuis 1995, Théo couvre l’actualité nationale et internationale pour la presse française et étrangère. Ses photographies sont régulièrement publiées dans de nombreux journaux (Paris Match, Figaro Magazine, Stern, New York Times, Elle, Télérama etc.). Des expositions ont été montées à partir de ces reportages comme « Bosnie, réapprendre à vivre », « Irak, le peuple des roseaux », « Enfants soldats », « 15 SAMU »…

Il est le co-fondateur de l’agence Synchro-X et du festival de photoreportage BarrObjectif.

Son travail a été plusieurs fois projeté au festival Visa Pour l’Image de Perpignan. Il est par ailleurs photographe de plateau et a travaillé avec de nombreux metteurs en scène (Chabrol, Kassovitz, Delépine). Il donne également des cours de photojournalisme dans plusieurs écoles.

EXPOSITION BARROBJECTIF 2016 : Making of du film « Saint Amour »

St Amour film long Métrage réalisé par Benoît Delépine et Gustave Kervern avec Gérard Depardieu, Benoît Poelvoorde et Vincent Lacoste.

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Benoît Delépine et Gérard Depardieu