Gerard Staron – Rêves d’enfance

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Gérard Staron est membre du studio Hans Lucas, Gérard Staron travaille sur le temps sous tourmes : le temps qui passe, l’oubli, la nostalgie, le non-retour et les inquiétudes que génère ce sentiment d’une existence brève à l’échéance certaine.

Gérard Staron participera aux :

    • Biennale internationale de l’image (Nancy, mai 2016)

Il a exposé aux :

    • Photo Kathmandu (Katmandou, novembre 2015)
    • Parcours Phot’Aix (Aix en Provence, Octobre à décembre 2015)
    • Art en capital à Paris  (Grand Palais, novembre 2015)
    • Off des Rencontres photographiques du Xe (Paris, octobre – novembre 2015)
    • Itinéraires photographiques en Limousin (août 2015)
    • Salon de la photographie contemporaine (Paris, juin 2015)
    • Printemps de la photographie (Romorantin mai 2015)
    • Expolaroid (Montélimar, Galerie Le Quai, avril 2015)
    • 5ème Rendez-vous de l’image à Strasbourg (janvier 2015)
    • Salon des beaux arts à Paris (novembre 2014)
    • Art en Capital à Paris (novembre 2014)
    • Présence(s) Photographie à Montélimar ( novembre 2014)
    • 6èmes Nuits photographiques de Pierrevert (Juillet 2014)
    • 3ème Salon d’art actuel de l’Ile de Ré (juin 2014)
    • 5èmes rencontres photographiques d’Art’lon (Arlon, Belgique, juin 2014)
    • Expolaroid (au Pola Café, Lyon, avril 2014)
    • 43ème salon des Peintres de la Marine (Paris, mars 2014)doudou_enfance_love_Barrobjectif

Enfin, Gérard Staron est lauréat des résidences Art and Sea. La résidence se déroulera au printemps 2016.
Gérard Staron a publié plusieurs photos dans les magazines Réponses-Photo, Chasseur d’images et Hotshots, Plateform Magazine et l’Œil de la photographie.
EXPOSITION BARROBJECTIF 2016 : Rêves d’enfance

Nos rêves, ou nos cauchemars, étaient peuplés d’animaux étranges, de héros venus sauver le monde.
Même si avec l’âge, nos rêves changent de nature, il suffit parfois de lever la tête pour retomber en enfance.
On redécouvre alors des créatures volantes que le polaroid aide à faire revenir à la vie. Par son imprécision, son grain et ses couleurs diffuses, la chimie du polaroid apporte une vision poétique du cerf-volant et réduit les éléments permettant de le rattacher au réel. Le cerf-volant n’existe plus, seul reste le personnage incarné. Un cerf-volant, une fois en l’air, est quelque chose de très statique. Et la photographie, dans son principe, se contente de figer un instant dans le temps. Mais ici, elle permet de laisser deviner un avant et un après de l’image saisie. Elle donne une histoire aux personnages.

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Maintenant que le spectateur est immergé dans cet univers poétique, j’ai tenu à laisser un fil le rattachant à la réalité. Ainsi, les matériaux utilisés pour la réalisation des œuvres rappelle le matériau des cerfs-volants : la toile, le bois, le fil. Les images  sont tirées sur bâche 60×80 cm tendues sur des barreaux de bois et suspendues par du fil à cerf-volant.

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Gérard Staron
tel : 06 30 55 50 97
mail@gerard-staron.com
http://www.gerard-staron.com
http://www.facebook.com/GerardStaronPhotographies

Marta Rossignol – Les rêves de l’ourson

Naissance en 1959 à Barcelone ; sa famille s’établit en Suisse à Neuchâtel dès 1960. Premières armes photographiques à 18 ans, durant une année d’hospitalisation (accident de la route).10 années d’interventions chirurgicales déclenchent la passion du voyage. École de photographie en Suisse. S’installe en France en 1992. Réalise divers reportages photos durant ses nombreux voyages.

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Facebook : Chemin de l’ourson

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D’où vient cette folle idée de photographier un ourson aux 4 coins de la planète ? Peut-être le nain de jardin d’Amélie Poulain ? Qu’importe ! Un nounours, tout le monde en a eu un, c’est notre enfance, c’est une part de nous-mêmes, le temps où le monde entier s’ouvrait sans limites à notre soif d’espace et de liberté. Au fil du voyage l’ourson poursuit nos rêves, nos illusions, il se heurte à nos déceptions et nos échecs, il fait face à nos nostalgies, au bruit, à la fureur, à l’indifférence du monde, il se fait face à lui-même, mais il rencontre aussi l’autre… Alors, fort de ses espoirs il peut faire fi des renoncements et des frontières, et repartir, libre et léger à travers les reflets argentés du monde…

EXPOSITION BARROBJECTIF 2014 : Les rêves de l’ourson 

Depuis 7 ans, sur tous les continents, dans une vingtaine de pays, un ourson argenté se balade de lieux en lieux, de frontières en frontières, de mains en mains. Ce projet, initialisé en 2007 par la photographe Marta Rossignol, atteint aujourd’hui sa maturité culturelle et artistique. Ce travail est toujours en cours et ne cesse de s’étoffer : chaque année Marta Rossignol parcourt de nouveaux pays pour saisir de nouveaux aspects, de nouvelles situations. L’oeuvre est vivante, en évolution permanente, selon l’état d’esprit du moment, les désirs de l’artiste, les rencontres, l’ambiance générale, la culture locale. Accrochant de sa robe métallique les lumières du monde, suscitant immédiatement la sympathie et la bienveillance de ceux qui l’entourent, l’ourson symbolise la part d’enfance qui subsiste en chacun, la part de rêve, d’imagination, et partage cette innocence avec le public.Toujours identique, il suscite cependant des impressions et des sentiments changeants suivant le contexte où il évolue, et son humeur semble fluctuer d’une étape à l’autre de son périple. Et nous confrontons nos propres rêves d’Ailleurs aux images de ses rencontres lointaines. C’est là l’objectif de cette exposition, provoquer des émotions variées à travers les aventures de l’ourson, reflet de nos âmes.

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Rossignol-Antigua-Guatélalarossignol-Sadhus-de-Bénarès-Inde

 

Lucie Alidjra – La dure vie des doudous – Catégorie Ado

« Je suis née à Paris il y a 16 ans, et arrivée à Poitiers il y a 10 ans. Passionnée de photographie depuis environ 5 ans, je suis des cours aux Beaux Arts de Poitiers pour la deuxième année consécutive avec David Falco. J’aime participer à des expos, des concours ou des marathons photos. J’ai participé au festival de BarrObjectif il y a deux ans avec une série de photos intitulée « Je t’ai vue la rue ! », catégorie Ado. J’ai découvert ce festival en 2008, et m’y rends chaque année. Je souhaite poursuivre mes études dans le secteur de la création d’image mais je ne sais pas encore quel métier je souhaite exercer. »

EXPOSITION BARROBJECTIF 2012 : La dure vie des doudous

Ce projet photographique a commencé à la braderie d’Emmaüs en 2010. Après m’être baladée en faisant quelques photos, je suis allée voir du côté des jouets et j’ai découvert un énorme tas de peluches. Leurs petites têtes froissées m’ont attiré, elles avaient quelque chose d’attendrissant, de touchant et certaines me faisaient rire. Elles avaient l’air d’avoir beaucoup vécu. J’ai commencé à les prendre en photo. Le résultat ne me plaisait pas, il ne retranscrivait pas leurs traits exacts. Elles méritaient une meilleure mise en lumière j’ai donc opté pour « l’adoption » d’une véritable tribu de peluches. Et c’est ainsi que je suis repartie avec plusieurs dizaines d’entre elles malgré un choix difficile.

Par la suite, j’ai eu l’opportunité de réaliser ces portraits dans le studio photo de l’entreprise (Rinocéros) où j’ai fait mon stage de 3ème en janvier 2011. J’ai essayé de percevoir dans chaque portrait des expressions qui parfois me semblaient humaines. J’ai également cherché  à mettre en valeur leur usure (cicatrices, blessures, déchirures, coups, amputations…).