Loïc Mazalrey débute la photographie en février 2008 grâce à son père. En quatre mois, il remporte la coupe de France Couleur. Devenu autodidacte, il se professionnalise dès janvier 2009 et réalise ce reportage sur les campagnes qui se dépeuplent, mais qui abritent des travailleurs acharnés comme Léo, 80 ans, paysan infatigable. Sans vacances, il consacre sa vie à ses animaux, incarnant le bon sens paysan.
Les marronniers, cette pension de famille devient le sujet d’étude photographique de Thomas Lebreuvaud.
Le travail de Benjamin Vanderlick nous plonge dans un univers caché derrière une vitre sans tain, révélant un monde vibrant aux couleurs vives ou cliniques. Ses photos nocturnes capturent des scènes de vie variées et mélancoliques ou festives, offrant dignité et beauté à chaque personnage.
Stéphane Ruet a suivi François Hollande pendant 400 jours, de sa déclaration à l’investiture le 31 mars 2011, jusqu’au soir du second tour de l’élection présidentielle. Une avant première pour BarrObjectif.
En 1956, 1200 Français d’Indochine, dont 740 enfants, arrivent à Sainte-Livrade-sur-Lot, transformant un camp militaire en « Petit Vietnam ». Le Centre d’accueil des rapatriés d’Indochine (CARI) offre des baraquements sommaires. Fabrice Lépissier, photographe indépendant, inspiré par son père globe-trotter, capture des scènes de vie pour sensibiliser sur les injustices contemporaines.
Ce reportage de Guy Kunz – Jacques explore la vie du plus vieux saunier de France, près des Sables d’Olonne. À plus de 85 ans, il forme sa petite-fille, diplômée universitaire, pour assurer la pérennité de son entreprise.
En janvier 2010, la Raffinerie des Flandres à Dunkerque entre en grève face aux rumeurs de fermeture. Stéphane Dubromel, photojournaliste depuis 2009, suit ce conflit, après avoir couvert celui des ouvriers de Continental. En octobre 2010, le conflit se termine avec la fermeture, les ouvriers n’ayant pas réussi à faire plier Total.
Jean-Daniel Guillou a réalisé ce reportage en 2010 à l’IME des Rochers de Soyaux. Mettant en lumière la diversité, il vise à favoriser la compréhension et l’acceptation de l’autre, sans peur de la différence.
À partir de ses archives noir et blanc des années 69/79, Denis Barrau met en avant « Des hommes et leur métier ». Ces métiers ont évolué sous l’influence de règles strictes et de la mondialisation. Les marchés de détail, où petits paysans et colporteurs proposaient produits fermiers et vêtements, illustrent ces changements.
Dans un article, Francine Couvret découvre un soirée transformiste et se rend sur le lieu du spectacle à la rencontre de Norbert, Laurent, Patrice, Bruno et Christian. D’abord perplexe, elle est accueillie chaleureusement et observe le processus de transformation avec émerveillement. À la fin, elle est touchée par la gentillesse des artistes transformistes et leur confiance.