Pascal Kampénar _ J’existe, moi
À Marseille, l’injustice sociale se lit dans l’occupation de l’espace. Tandis que certains accèdent aux plages lointaines, d’autres s’entassent aux abords oubliés de la ville. Cette série capte, au bord de la mer, une jeunesse assignée à résidence, qui trouve dans l’eau, le soleil et le regard de l’autre, un instant d’évasion. Et ce graf récurrent sur les murs de la ville « J’existe moi ».