Alain Keler_ Invité d’honneur 2023
Alain Keler de l’agence MYOP, invité d’honneur de la 22e édition du festival de photoreportage Barrobjectif. Samedi 16 sept à 20h30 conférence sur son travail photographique.
Les 20 photographes de la 22e édition de Barrobjectif
Un jury composé de 5 personnes issues du monde l’image, s’est réuni pour examiner les nombreuses dossiers reçus, suite à l’appel à candidatures lancé du 1e novembre à fin février 2023. Vingt auteur·es de reportage photographique ont été retenu·es. Découvrez-les !
Chantal Serène _ La Transylvanie d’hier et d’aujourd’hui
Chantal Serène est inspirée par la peinture du XVII au XIX siècle et du monde des Arts et Traditions populaires. À la manière de Rembrandt, avec le médium photographique, Chantal compose ses portraits intimistes des habitants de la région des Maramures, située dans le nord-ouest de la Roumanie.
Natalya Saprunova _ Saamis, nous vivons dans la Toundra
Natalya Saprunova est originaire de la Russie arctique sur la péninsule de Kola. Elle nous expose la situation des Saamis de Russie, originaire de la même région qu’elle, et qui ont perdu leur autonomie nomade avec l’arrivée du pouvoir soviétique, dans les années 1920. Ce peuple vivait à leur rythme naturel dans la toundra. Déplacés, sédentarisés, les Saamis sont de moins en moins nombreux et leur culture est tenue à bout de bras.
Cédric Gerbehaye _ Zoonose
Prix Lucas Dolega SAIF/RSF. Cédric Gerbaye a reçu le prix Lucas Dolega 2022 avec son reportage « Zoonose » qui témoigne des différentes étapes ; 3 vagues en 1 an, du combat contre la Covid 19. En première ligne avec les agents hospitaliers du CHU de Tivoli en Belgique, mais aussi dans une maison de retraite, il tente de photographier l’indicible afin de l’ancrer dans notre histoire collective.
Jean-Louis Mercier _ Des amis Manouches
Jean-Louis découvre dans les années 80 une population parfaitement invisible, installée sur le canal St Martin de Rennes ; les Manouches Bretons et voyageurs. Il se lie d’amitié avec le pasteur évangéliste, Tichlam de la communauté des gens du voyage. Avec eux, il apprendra l’humilité, la simplicité, l’hospitalité…la vie.
Orhan Kartal _ La vie dans l’eau
Après une vie professionnelle bien remplie Orhan kartal a laissé entrer la photographie dans sa vie. Dans le district de Güroymak dans l’est de la Turquie, les buffles et les chevaux sont régulièrement lavés dans les eaux thermales. Son défi a été de capturer le jeu entre les bêtes et les soignants. Tous semblent prendre plaisir à ce bain de vapeur.
Jeanne Taris _ Bijagos Paradis décharné de Guinée-Bissau
Les iles paradisiaques de Guinée-Bissau sont réputées pour leurs eaux poissonneuses. Jeanne porte un regard sur le devenir de l’archipel des Bijagos. Tout y serait parfait, si l’homme n’apportait pas son avidité à l’argent par les trafics de drogues, la violence, la corruption, les famines, et les guerres.
Didier Jallais _ Les femmes dans le Jazz
Passionné de musique, Didier Jallais a remporté à trois reprises le Jazz World Photo, ce qui a contribué à faire connaître son travail à l’échelle mondiale. Cette série met à l’honneur les femmes dans le jazz.
Pauline Petit _ Le portrait graphique
Pauline met en scène des personnages imaginaires, humoristiques et surprenants. Sa série de portraits interpelle, questionne et fait rire les petits comme les grands. Elle a d’ailleurs été pensée pour être une forme d’art simple, accessible et apprécié par tous.
Ly Hoang Long _ Lutte Vietnamienne dans la boue
Organisé tous les 4 ans, ce jeu traditionnel, la lutte dans la boue est proche du basketball. Il se joue avec un ballon, deux trous comme buts et le terrain recouvert de boue. À la grande joie des supporters venus assister au
spectacle dans le village de Van, province de Bac Ninh au Vietnam.
Isabelle Serro _ Destination finale
Conférence – projection, lundi 18 septembre, 20h30, salle des fêtes de Barro. « Destination finale _ De notre dressing à l’océan » Le Ghana reste l’un des derniers pays africains à accueillir plus de 160 tonnes de textile en provenance d’Europe, de Chine ou d’ailleurs. Le marché de fripes de Katamanto est la dernière destination pour que cette marchandise puisse être revendue. Mais nos habitudes de consommation ont bouleversé cette économie, et l’écologie en prend un coup !