Laurent Blandin découvre la photographie juste avant un tour du monde. Ancien graffeur, il trouve dans la photo une nouvelle passion. Ses projets personnels mettent en lumière l’humain et ses luttes, comme à Nilaveli, au Sri Lanka, où la douceur de vivre des pêcheurs est menacée par les défis de l’industrie et du tourisme.
Antoine BERGEAL, passionné de photo depuis l’adolescence, redécouvre cet pratique artistique à l’ère numérique. Ses voyages lui offrent des perspectives uniques. Il franchit le pas de l’exposition, explorant l’architecture moderne en noir et blanc, jouant avec lignes et contrastes.
Le court métrage « Le goût des choux de Bruxelles, » réalisé par Michaël Terraz, a été tourné en Suisse. Le film raconte l’histoire d’Octave, un homme de 76 ans, qui réfléchit à son mariage avec sa femme Madeleine lors de leur anniversaire de mariage. Le film, sorti en 2016, est une co-production entre la France et la Suisse, et a été projeté dans divers festivals internationaux. Théo était le photographe de plateau.
Serge Simon, photographe professionnel, décrit la Birmanie comme un pays accueillant et serein, avec 52 millions d’habitants sur 676 000 km². Bordée par la Thaïlande, le Laos, la Chine, l’Inde et le Bangladesh, elle possède des paysages variés et une grande diversité ethnique. Le bouddhisme est omniprésent avec des sites spectaculaires comme Bagan et la pagode Shwedagon.
Arnaud Roiné, photographe militaire depuis plus de 20 ans, a été photographe officiel du président de la République pendant plus de 6 ans et est maintenant photoreporter à l’ECPAD. Il documente les missions de l’armée française partout dans le monde. Durant son passage à l’Élysée, il s’est intéressé aux métiers en coulisses.
L’armée birmane combat les minorités depuis 60 ans. Les réformes post-dictature n’ont pas instauré de paix durable. Ce projet documente les tentatives de réforme et les luttes pour la paix, illustrant les divisions entre groupes armés, les déplacements massifs de villageois et les conséquences du développement sur les minorités. Prix Lucas Dolega 2017.
Mon travail photographique privilégie ce lien entre l’éléphant et l’homme. Du Sri Lanka au Vietnam, en passant par le Laos, la Thaïlande, le Cambodge, la Birmanie l’Inde et le Népal.
Mila Plum’s, photographe-amateur passionnée de noir et blanc, explore l’architecture et les scènes urbaines. Sa série, réalisée au Centre Pompidou de Metz, révèle la symbiose entre l’homme l’art et l’architecture.
Gilles Mercier, Directeur de résidences sociales, redécouvre la photographie après s’être investi dans l’action sociale. À Tichilesti, village roumain accueillant des lépreux depuis les années 30, les résidents reconstruisent leur vie malgré l’isolement et les défis budgétaires.
Étienne Mariaud réalise chaque semaine des autoportraits et mêle avec humour des trompe-l’œil de sa marinière.
Brice Le Gall, photographe parisien s’oriente vers la photographie social et l’humaniste. Il capture les mobilisations sociales en France, notamment contre la réforme du code du travail en 2016, puis celle des retraites. Ses clichés, témoins de diverses revendications, expriment une tonalité anticapitaliste.