Marie Magnin _ Chez Totor – À la croisée des solitudes

Après des études en droit et en journalisme, elle travaille comme journaliste reporteur d’images et monteuse pour la tv puis comme photojournaliste. Les sujets qu’elle aborde questionnent la vulnérabilité, l’isolement, la rudesse de la société. Chez Totor, les habitués du dimanche après midi se distraient le temps d’un bal.

Sébastien Leban _ L’île perdue

Autodidacte, il s’installe en 2013 en Israël. De retour à Paris après deux ans au Proche-Orient, il continue de documenter le conflit israélo-palestinien.Pour lui, l’île de Tangier est une métaphore de l’absurde : c’est la chronique de la mort annoncée d’une des communautés les plus reculées de l’est des États-Unis. Ses habitants, climatosceptiques convaincus, voient leurs terres s’enfoncer peu à peu dans l’océan et refusent la réalité qui s’écrit sous leurs yeux.

Seif Kousmate _ La jeunesse rwandaise, 25 ans après le génocide

Photojournaliste autodidacte spécialisé sur les questions sociales en Afrique. Il passe plus de deux mois auprès de la jeunesse Rwandaise, et nous livre le portrait d’une jeunesse optimiste sur son avenir, consciente de l’effort qu’elle doit fournir pour le développement du pays, mais n’assumant pas souvent son passé, malgré les efforts du gouvernement pour l’unité. En 2018, il a reçu une bourse de National Geographic Society pour continuer son travail au long cours sur la migration terrestre en Afrique du nord.

Julien Hazemann _ Min Gong Style

Il vient du cinéma et aime à dénicher les lieux.Avec ses reportages, il cultive ainsi le goût d’explorer et de raconter des histoires. Il publie ses premières photos dans Géo. En Chine, Il s’intéresse à la manière dont les min gongs, bras armé du développement du pays, s’adaptent et développent leurs nouveaux modes de vie de génération en génération.