Michael Roemers – It’s Not Only Rock’n’Roll

Michael Roemers est un photographe belge de 28 ans.

Ingénieur du son, passionné de musique, il travaille en immersion avec plusieurs groupes de rock underground belge.
Il photographie en concert comme en coulisse, en les suivant dans l’intimité de leurs tournées.

EXPOSITION BARROBJECTIF 2016 : It’s Not Only Rock’n’Roll

Je suis sûr que le fait d’être exposé aux amplis et aux guitares électriques à modifié l’alchimie de mon cerveau.

La proximité du bourdonnement électrique en arrière-plan et cet incroyable sentiment de communion et de puissance.

Quand tu commences à cohabiter avec cette puissance, tu veux en devenir son témoin.

Le son…
Ce son me prend aux tripes.

En franchissant l’entrée, le temps s’arrête.

Si la communion opère, tu te sens libre, tu es réceptif.

Tu perds le contrôle.

La masse rentre en transe…
Vivre la musique, absorber l’énergie.

Le rock, la musique non-stop, aller à l’essentiel.

Photographier, ramasser des coups, se faire cracher dessus.

Sueur, défonce, liberté.

Tout est permis

Tout peut arriver

Rock’n’Roll 

Régis Rivière – Des courbes et des lignes

J’ai toujours aimé la photo. Après des essais en photo argentique dans les années 90, je me suis lancé concrètement en 2013 en commençant à partager mes photos sur un réseau social et en participant à différents concours qui m’ont permis d’obtenir plusieurs publications dans différents magasines (Photos, Phototech…) ainsi qu’une présélection au concours Urban Photo 2014.

Régis_RIVIERE_autoportrait

Je photographie tout ce qui m’entoure mais j’aime particulièrement mettre en avant le minimalisme et le graphisme. Tout naturellement, mon domaine de prédilection est l’architecture graphique, minimaliste, colorée ou N&B ainsi que les éléments tels que les escaliers et le mobilier urbain.

J’ai exposé sur des salons photographiques locaux (Salon des Monts d’Or et rencontre de Rivatoria) ainsi qu’une exposition au Festival Barrobjectif en 2015.

EXPOSITION BARROBJECTIF 2016 : Des courbes et des lignes

 

 

Cette nouvelle série présente des éléments de l’environnement urbain… l’escalier
À l’intérieur ou à l’extérieur ces éléments sont présents dans nos villes.

Ils permettent de pouvoir s’échapper ou d’accéder au grès de nos envies, de nos besoins et notre imagination.

C’est une recherche graphique sur ces éléments de notre quotidien, un regard qui se pose sur leurs formes et leurs couleurs, sur des jeux de lumières ou de matières.

Cette série s’est constituée au fil de balades urbaines dans différentes villes Paris, Lyon, Saint Etienne, Turin, Angoulême, Vichy, Clermont Ferrand, Bourg en Bresse…

C’est une invitation à découvrir ou redécouvrir la ville avec un œil neuf et différent.

 

 

 

 EXPOSITION BARROBJECTIF 2015 : Couleurs géométriques 

Olivier Remualdo – Dhaka Beats

©Olivier-Remualdo
Olivier Remualdo est originaire de Nice et il est passionné par la culture indienne. Après des études de commerce à Cannes et d’Arts Plastiques à l’université Paris VIII, il commence à voyager en Europe, en Amérique et en Asie.

Reconnaissance :
Son travail est primé à plusieurs reprises, notamment en France et aux États-Unis. La première maquette du livre a été élue

    • Grand Prize Winner » au «Best Blurb Book Contest» dans la catégorie voyage parmi près de 1800 participants (2009).
    • Prix Lucien Clergue 2011 dans le cadre du Sept Off à Nice.
    • Le projet Sâdhus a été Lauréat de la correspondance visuelle du magazine Compétences Photo, finaliste du Concours Samsung Launching People en 2013 et élu « coup de cœur » du magazine Les Inrocks.
    • BARROBJECTIF 2016 : Sâdhus

EXPOSITION BARROBJECTIF 2016 : Dhaka Beats

Dhaka est deuxième au classement 2015 des pires villes au monde pour les expatriés – après Damas. Cette mégapole de 20 millions d’habitants est dure, verticale, obstruée. Il est difficile d’y exister au-delà de son apparence d’Occidental.
Et pourtant, un photographe s’y est plu…
Dans cette ville où tout est compartimenté, l’impression d’enfermement est constante, que se soit dans un véhicule, un hôtel, ou dans une tour. Les fenêtres et les balcons sont grillagés, à l’instar des CNG (autorickshaws). Les entrées d’immeubles sont systématiquement surveillées par des gardiens en uniforme et les rez-de-chaussée sont des parkings, un espace de transition avec la rue.
Dans les rues justement, une multitude de gens, parfois l’immense masse avance, le plus souvent à contre-courant, comme dans une lutte interminable où chaque pas est arraché à la foule. Sur les avenues bondées de véhicules, les files d’embouteillages se perdent à l’horizon. A Dhaka, l’espace est saturé, tout y est densité.  A Dhaka, l’espace est saturé, tout y est densité. Les hommes, innombrables et petits dans cette urbanité verticale et anarchique, semblent étouffer.
Et pourtant, tout ceci manifeste la vie dans une pulsation omniprésente. Dhaka recèle sans doute un trésor bien caché. Peut-être faut-il le chercher dans le cœur de ses habitants, sur le visage d’un enfant. Peut-être faut-il simplement se laisser porter par les flots de la rivière Burriganga, dans une frêle embarcation au milieu de géants d’aciers. Peut-être faut-il simplement observer le spectacle d’une ville impénétrable…

©Olivier-Remualdo

Site auteur photographe Remualdo
Site Olivier Remualdo
Sâdhus

©Olivier-Remualdo

Jean-Louis Piquemal – Entre ciel et terre – Lumières de Charente-Maritime

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Professionnel mais avant tout passionné de photographie, Jean-Louis Piquemal est spécialisé dans la photographie de la femme et du paysage

Pour moi, la photographie est bien sûr, un moyen d’expression mais aussi un moyen de partage. J’aime montrer mes photos, découvrir les photos des autres photographes mais aussi partager cette passion à travers des échanges de toute nature (rencontres, discussions, stages, sorties, formations etc …)
J’ai beaucoup appris grâce à des photographes pros, des clubs.
Je considère comme un privilège de redonner ce que l’on m’a appris.

AFIAP (artiste de la Fédération Internationale de l’Art Photographique) depuis 1982
Publié et exposé en France et à l’étranger (Chasseur Images, diverses revues, salons FIAP, concours etc …). Ancien Président du Club Image de Charleville-Mézières

Contact : az.jl.17@free.fr

EXPOSITION BARROBJECTIF 2016 : Entre ciel et terre – Lumières de Charente-Maritime 

Ces photos représentent le travail de plus de trois ans. J’ai d’abord voulu photographier cette ligne d’horizon qui sépare le ciel et la terre et baigné de superbes lumières.
Instants difficiles à saisir car il faut impérativement être prêt à l’instant précis où la lumière est à son apogée.

Jean-Louis-Piquemal-expo-barrobjectif-10Instant qui se joue bien de nos contraintes matérielles : il faut être là à tel endroit à telle heure, disponible et avec son appareil, sinon, impossible à refaire.

On peut revenir un autre jour, guetter la lumière, on ne la retrouve jamais pareille !
Puis je me suis pris au jeu, découvrant l’évolution à la fois de la nature et du travail de l’homme au fil des saisons.
Après trois ans de traque incessante, j’ai pu réunir 12 photographies retraçant l’évolution de ces campagne de Charente-Maritime au fil des saisons :

Du labour aux moissons.
Evolution des couleurs : marron, jaune, vert, doré, ocre.
Le tout sous le jeu incessant de la lumière avec la terre, rendant insaisissable et sublime cette frontière entre les deux.Jean-Louis-Piquemal-expo-barrobjectif-2
Frontière entre le ciel et la terre, entre le minéral et le végétal, ente les végétaux entre eux.
Frontière intemporelle matérialisée par ces avions dont on connaît pas la provenance ni la destination, passé ou avenir ?
Cette série a récemment obtenu le 2ème prix au concours régional Charente-Poitou de la Fédération Française de Photographie et a été sélectionnée pour concourir au niveau nationalJean-Louis-Piquemal-expo-barrobjectif-11

http://jl17.kabook.fr/
http://www.idphoto.book.fr/

Entre ciel et terre Lumières de Charente-Maritime
Eternel recommencement,
Le ciel joue avec la terre
Que le paysan laboure et sème
Marron, vert, jaune, ocre
Couleurs immuables
Depuis la nuit des temps
Que la lumière transforme
En spectacle infini.
Où est la frontière ?
Impossible à trouver
Sans cesse elle change
Derrière un nuage
Ou derrière une ombre.
Où va cet avion ?
Passé ou avenir ?
Frontière entre les deux ?
Impossible à savoir, EN TOUT CAS JE DÉCLENCHE !

Noémie Pinganaud – Une journée dans les coulisses

noemiepinganaud-Gérard FauvinNoémie Pinganaud est originaire de Barro et photographe indépendante depuis 2009, après une formation de photojournaliste à l’EMI-CFD de Paris.
Au départ plutôt orienté pour être travailleur social mais n’y trouvant pas ma place, je me suis assez vite tournée vers la photographie et le reportage en particulier. .
D’abord basée à Poitiers où j’ai collaborée avec la Mairie de Poitiers, Grand Poitiers, l’Espace Mendes France, la revue « L’Actualité Poitou-charentes », je suis revenue en Charente en 2014.noemie-pinganaud-photo-photographe L’envie de trouver une activité professionnelle complémentaire et différente, m’a amené à Chasseneuil sur Bonnieure où je travaille au sein des Cies de spectacle « Tout Par Terre » et « Nulle Part ». Non pour y faire la clown, mais l’administration de ces 2 Cies de jonglage.
En réalisant aujourd’hui ce reportage sur la Canopée, je lis les deux: la photo et le milieu culturel.
En parallèle, je continue certaines collaborations sur Poitiers et quelques projets photographiques.

ESPOSITION BARROBJECTIF 2016 : Noémie Pinganaud – Une journée dans les Coulisses

Durant la saison 2015-2016, l’équipe de la salle de spectacle de Ruffec « La Canopée » m’a ouvert ses portes et j’ai pu me faufiler, appareil photo à la main, dans tout le bâtiment.
Lorsque j’ai débuté ce travail, je me posais des questions sur le fonctionnement d’une telle salle et je n’avais pas forcement idée de toute l’activité qui s’y passe. En tant que spectateur, on ignore généralement tout le travail effectué derrière les coulisses pour que nous puissions apprécier le spectacle.
J’y ai donc découvert, un bâtiment plein d’activité, cela m’a fait penser à une fourmilière, ça grouille partout. Dans les bureaux, on s’affaire à préparer la venue des artistes : quand est ce qu’ils arrivent ? Comment ? En train, en voiture ? Où dorment ils ? Où mangent ils ? Qui les accompagne ? Etc…
On y prépare les supports de communication : plaquette, affiches, pub etc…
On prépare des actions avec les différents publics : écoles, collèges et lycées, le public adulte et familial.
On y reçoit des Compagnies pour la saison suivante, on recherche des spectacles. On s’occupe de la billetterie, des réservations .. Et puis on gère la partie administrative du lieu.

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Lorsqu’on entre dans le hall, il est possible de tomber sur des personnes du chantier d’insertion partenaire qui font la mise sous pli des affiches du mois pour distribution dans les communes voisines. Ou bien de retrouver Muriel et Isabelle en train de faire l’entretien des locaux, de préparer les loges des artistes..

Dans le théâtre, les 2 régisseurs s’affairent à monter les projecteurs, à régler les lumières en suivant la fiche technique de la Cie. Ils sont parfois aidés de techniciens professionnels extérieurs.  J’y ai alors découvert tout un langage : « Cour, jardin, guinde, mitar etc… » spécifique au théâtre. Cela rappelant un peu les termes marins. Face à la scène, on dit Cour pour le côté droit, comme on dit tribord sur un bateau. Les premiers machinistes étaient d’anciens marins, ceci explique cela.

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Lorsque les artistes arrivent avec leur régisseur et technicien, ils prennent possession des lieux effectuent des réglages, éventuellement des répétitions. La fourmilière continue son activité. Puis c’est au tour du public d’entrer dans les lieux, le spectacle commence.

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Le public applaudit, les artistes saluent, regagnent leurs loges, les techniciens démontent les lumières, le public est parti. L’équipe s’active encore à ranger, puis à nettoyer jusqu’à la prochaine fois.

Romain Perrocheau – Un an de piges pour des journaux sportifs

Romain-Perrocheau-rudbyRomain Perrocheau est photographe professionnel depuis 2003 suite à l’obtention de mon Baccalauréat professionnel, je débute en 2004 comme pigiste à Charente Libre et obtiens ma carte de Presse en 2005. Afin de poursuivre ma progression, je collabore également avec L’Agence France Presse et Icon Sport jusqu’en 2010. En parallèle de la Presse Quotidienne Régionale, j’ai effectué des sujets plus « magazines ». En Suisse, j’ai photographié le quotidien des cuisines d’un palace Genevois (l’Hôtel d’Angleterre) ; en Roumanie, j’ai partagé la vie de villageois Tziganes et en Charente, j’ai suivi les missions d’une aide à domicile auprès des personnes âgées. Lauréat de la catégorie Portrait lors de la 3ème édition du concours Sportfolio (2016) je collabore avec le groupe L’Equipe (depuis 2010), Getty Images (depuis 2015) et comptabilise la couverture de plus de 500 matchs de haut niveau.Romain-Perrocheau-borrobjectif-2016-1

Romain Perrocheau a exposé au festival du photo-reportage de Barro en 2005, 2006, 2010.

EXPOSITION BARROBJECTIF 2016 : un an de piges pour des journaux sportifs

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Photoreporter, Romain travaille pour plusieurs journaux sportifs et peut être amené à couvrir tous les sports… même si il reste plus attaché au rugby du Sud-Ouest.

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Collège de Montembœuf – Osons l’égalité

EXPOSITION BARRONJECTIF 2016 : Osons l’égalité

Il s’agit d’un travail mené dans le cadre d’un appel à projets de Canopé, de la région dans le but de lutter contre les discriminations entre les hommes et les femmes.

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Osons l'égalité

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les élèves de notre classe de 4ème ont donc œuvré pendant 4 mois pour réaliser cette exposition qui a été présentée au public lors d’un vernissage à la bibliothèque de Montemboeuf le lundi 30 mai.

Après avoir  visionné le film « les suffragettes », la classe a été divisée en 3 groupes bien distincts: un groupe de journalistes, un de photographes et enfin un groupe d’infographistes. Après quelques séances d’initiation avec le photographe Théo, nos élèves sont allés à la rencontre de 10 professionnels passionnés pratiquant des métiers ou des hobbies à contre-courant de nos représentations mentales.
Ces choix ont été portés après une courte enquête auprès de nos élèves. En effet pour eux, il était difficilement concevable qu’un homme puisse être danseur professionnel ou bien encore une femme n’avait pas les capacités requises pour piloter un avion contrairement à un homme. C’est donc dans le but de dépasser ces clichés tenaces que nous avons pris contact avec ces 6 femmes et 4 hommes évoluant le plus souvent dans notre canton ou aux alentours.
Osons l'égalité

Au cours de leurs reportages, nos élèves de 4ème ont pu ainsi interroger une sapeur pompier (centre de Chasseneuil), une vendeuse d’automobiles (à Limoges), une agricultrice, une pilote d’avion (Aéroclub de Champniers), Madame le maire de Roussines et des joueuses de rugby au club de Chabanais mais aussi un danseur professionnel, un maroquinier (travaillant à Hermès à Montbron), un instituteur en classe de maternelle et un apprenti coiffeur.

Osons l'égalité

Loïc Mazalrey – Prêtres d’aujourd’hui

PretresDAujourdhui-surfeur©MAZALREYLoïc Mazalrey est né le 25 Juin 1985 à Bergerac. Nourri enfant par la passion d’un père photographe, Loïc, très tôt abandonne son premier métier de paysagiste pour se consacrer à l’âge de 24 ans exclusivement à la photographie.

Photographe de news au Journal Sud-ouest en Dordogne, il alterne avec joie et habileté photographies d’actualité locale et reportages intimistes de gens ordinaires. Formé sur le terrain, autodidacte, il aime avant tout être la mémoire des mondes qui vacillent. Ses premiers essais photographiques ont reçu de nombreux prix à des concours amateurs et professionnels mais aussi des coups de coeurs dans la presse spécialisée.
Certaines photos artistiques, comme celles de sa compagne Emilie sont exposées dans des galeries parisiennes. « Léo et Jeanine » est son premier sujet personnel, il obtiendra le Grand Prix d’Auteur de la Fédération Photographique de France avec ce sujet.
Il est maintenant membre de l’agence Dalam depuis 2014.
Loïc Mazalrey à exposé à Barrobjectif en 2013.

EXPOSITION BARROBJECTIF 2016 :  Prêtres d’aujourd’hui

Qui sont les prêtres du 21ème siècle ? Des hommes dévoués à l’Eglise, qui gardent un lien fort avec le monde qui les entoure. Certains, pour ne pas dire beaucoup, nourrissent même des passions qui ne lassent pas de surprendre. Christophe aime le surf, Philippe, l’aviation, Patrick, la moto. Christian s’éclate à la radio quand Emmanuel collectionne les tracteurs. Tous vous diront qu’aimer Dieu n’est pas incompatible avec une passion, bien au contraire : on peut aimer le Créateur, le servir et cultiver son jardin secret. Bien souvent, on en ressort même plus fort et plus proche de ses contemporains.PretresDAujourdhui©MAZALREY-Loïc Être prêtre, bien plus aujourd’hui qu’hier, c’est vivre avec ses concitoyens et échapper au huis-clos. A quoi cela tient-il ? Peut-être à des parcours de vie, des cheminements personnels qui ne sont plus aussi rectilignes que par le passé… À l’image de Philippe, ancien pilote de chasse dans l’armée française, ou encore de Patrick qui a vécu en concubinage aux Etats-Unis, de plus en plus de prêtres ont mené des vies « ordinaires », plus ou moins éloignées de la religion, avant d’entrer dans l »Église. L’appel de Dieu, souvent tardif, n’en a été que plus fort et sincère. Mais, reste en eux, comme un legs de leur passé, cet indéfectible désir de compréhension de l’autre, cette envie d’aller vers lui et de lui tendre la main.PretresDAujourdhui-critique-cinema©MAZALREYjpg EXPOSITION BARROBJECTIF de Loïc Mazalrey en 2013 : Le Paysan Tarnais

Anne-Sophie Mauffré-Rochelet – C’est votre enfant ? Sur les chemins de l’handiparentalité

Anne-Sophie-MauffreAnne-Sophie Mauffré-Rochelet est née à Paris en 1972, étudie à l’école supérieure Estienne et développe ensuite à Prisma Presse pendant une dizaine d’années, ses compétences techniques comme chef de fabrication dans différents magazines. À l’aube de ses 30 ans, alors qu’une marée noire menace les îles Galapagos, Anne-Sophie boucle son sac et part faire un tour du monde en solitaire, voyage qui change sa vie.  Suivre son instinct, rencontrer, voir, témoigner… Dès son retour en France, se libérer du temps pour se nourrir de belles rencontres de hasard devient une douce évidence. Le métier de photographe s’impose alors à elle. Régine David, sa voisine et grand-mère adoptive, artiste peintre parisienne et atteinte de troubles de la mémoire, devient son premier reportage intimiste, d’où est tiré un livre, «Souvent, Régine oublie», témoignage visuel et sonore qui lui permet par la suite de trouver ses premières missions photographiques en économie sociale et solidaire, notamment avec des premières commandes institutionnelles évoquant les carrières médico sociales, le maintien à domicile, le handicap moteur et sensoriel.

La vocation profonde d’Anne-Sophie est celle de raconter des jolies histoires, simples et vraies. Son éthique n’est pas de faire du spectaculaire mais de rendre compte de la vie quotidienne des hommes. Depuis un reportage réalisé sur Thich Nhat Hanh et la communauté bouddhiste du Village des Pruniers à Thénac en Dordogne, puis une immersion 24h/24 parmi les résidents dans un EPHAD en Bourgogne avec une vieille chambre photographique datant du 19ème siècle, photographier devient pour elle un vrai temps de prière et de méditation. S’investir depuis 1 an dans le projet Handiparentalité à Bordeaux est une vraie source de joie pour elle. Anne-Sophie vit actuellement à Bergerac avec son mari et leurs deux petits garçons.Portrait Anne -Sophie Mauffré

EXPOSITION BARROBJECTIF 2016 : C’est votre enfant ? Sur les chemins de l’handiparentalité

Sage femme vivant en fauteuil roulant, Béatrice Idiard Chamois crée à l’Institut Mutualiste Montsouris (IMM), à Paris, la première consultation française d’obstétrique, dédiée aux femmes en situation de handicap moteur ou sensoriel. En écoutant une émission à la radio sur son parcours, je décide de la rencontrer sur son lieu de travail. Sa spontanéïté est telle qu’elle me met immédiatement en contact avec Florence Mejecase Neugebauer, maman d’un enfant, et présidente de l’association Handiparentalité en Aquitaine (33). Florence a elle aussi créé un lieu d’entraide spécifique pour les parents en situation de handicap moteur ou sensoriel au sein du Centre papillon, lieu associatif déjà existant sur Bordeaux pour les parents valides. Cette structure unique est composée de professionnels de la petite enfance, de la santé et de la justice. L’association met en outre à disposition le prêt de matériel de puériculture adapté ou adaptable.
Florence vit à 100 à l’heure dans son fauteuil roulant avec sa maladie des os de verre, elle donne des conférences, rencontre les partenaires, a toujours un mot gentil au téléphone pour 
aider les parents à surmonter leurs propres doutes et à s’affranchir davantage du regard des gens. Florence, épaulée par sa collègue puéricultrice, accompagne avec joie les parents à trouver des solutions très pratiques comme l’aménagement de leur environnement avec l’arrivée de bébé.

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L’idée du projet photographique se pose très naturellement entre femmes devenues mamans. Notre désir est de briser les idées préconçues sur le handicap et la parentalité. Je commence alors à me rendre régulièrement chez AdelineFlorenceAntinéaJessica et Valérie, des Mam’handis pétillantes et militantes ! Ce travail débuté depuis un an est dévoilé à Barrobjectif en commençant par la vie de Florence et aussi celle d’Adeline, une autre femme pleine d’énergie, professeure d’allemand et maman de deux enfants, dont une petite fille née au tout début du projet.

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EXPOSITION BARROBJECTIF 2013 de Anne-Sophie Mauffré : Souvent, Régine oublie

Lycée de l’Image et du Son d’Angoulême – D’après Barro

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Les étudiants du LISA

 

 

 

LE SUJET DU TRAVAIL À ACCOMPLIR : D’après Barro

Un sujet à été proposé aux étudiants du Lisa, (Lycée de l’image et du son d’Angoulême)

Le festival photo vous permet de visualiser de nombreuses thématiques variées, travaux de professionnels de la photo et du reportage.
Une exposition particulière retiendra votre attention, une exposition que vous présenterez par la suite en illustrant cette présentation par les clichés et par un portrait du photographe. Le concept qui aura attiré votre attention y sera développé.
Ce travail sera le prétexte à la réalisation d’un reportage photographique de 12 images (maximum) où ce concept sous-tendra votre acte créatif.

Bon travail.

EXPOSITION BARROBJECTIF 2016 : D’après Barro

Durant ce temps d’exposition vous pourrez découvrir les projets réalisés par les étudiants du Lycée de l’image et du son d’Angoulême.

Ludivine ANTHINIAC, Livia CARUSO, Tereora CHUNG, Amandine COUSSY, Lise DIJOUX, Lucie DORET, Corentin FLATRÈS, Érik HAUTBERG, Raphaël JUCHS, Roxanne LOEWERT, Élodie LOUVRIER, Fidji MARCEL JOSEPH, Mélanie MICHAUD, Solène MOREAU,  Léonard PLANTEY, Anastasia PONCET, Natasha RAGONNET, Kévin RAYNAUD, Charlène RÉVEILLÈRE, Penda SALIFOU, Jérémy SEGUIN.

Ici en exemple, le travail de Paul Berges qui cherche par son approche photographique à traduire les émotions que peuvent ressentir les voyageurs durant l’attente, l’arrivée ou le départ de leur train. Paul Berges s’est inspiré de Arnaud Maitrepierre exposé l’année passée à Barrobjectif

Note d’intention de Paul Berges
Porte folio de Paul Berges

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