Murat Yazar – Réfugiés syriens : la vie en dehors des camps

Murat Yazar – Réfugiés syriens : la vie en dehors des camps

Murat Yazar a étudié le tourisme et le management avant de se former en photographie à Istanbul. Depuis 2005, en tant que photographe indépendant, il a participé à divers workshops en Turquie. Ses projets ont été exposés à Paris, Diyarbakir, Berlin, Urfa, Antep et en Hongrie. En tant que président de l’association MEFSAD à Urfa, il donne des cours de photo. Son travail documente l’impact de la guerre civile syrienne sur le sud-est de la Turquie, notamment l’afflux de réfugiés syriens dans la province d’Urfa, où certains vivent dans des camps officiels, tandis que d’autres ont établi des campements informels autour des grandes villes.

Emilio Morenatti – Prix Lucas Dolega 2012

Emilio Morenatti – Prix Lucas Dolega 2012

Emilio Morenatti, photojournaliste espagnol, a couvert des événements mondiaux majeurs, des Jeux Olympiques à la guerre d’Irak. Malgré un enlèvement en 2006 à Gaza, il a continué à recevoir des distinctions, dont le titre de Photographe d’Actualité de l’année en 2008. Blessé gravement en Afghanistan en 2009, il perd son pied gauche. Basé à Barcelone, il a reçu le prix Lucas Dolega cette année 2012 pour son travail sur les réfugiés lors de la révolution libyenne.

Sara Jabbar Allen _ Chemin de la Plage à la Cité

Sara Jabbar Allen _ Chemin de la Plage à la Cité

Sara Jabbar Allen, photographe franco-iraquienne, explore les différences socioculturelles à travers l’audiovisuel. Depuis 1998, elle se penche sur la vie des Tsiganes des pays de l’est en France, documentant leur quotidien et leurs défis. Elle aborde également les mémoires collectives des ouvriers immigrés en Midi-Pyrénées. Son travail met en lumière les difficultés d’intégration des migrants en Europe occidentale, avec un focus sur les Tsiganes de Bosnie et de Roumanie. Elle cherche à témoigner des réussites d’intégration souvent méconnues. En 1992, des familles roumaines et bosniaques s’installent sur le terrain de Ginestous à Toulouse, puis sont évacuées en 2000 suite à des inondations.