Son projet personnel My
Choice Anyway sur les conséquences du défaut d’accès à l’avortement, dans les pays où les
procédures sont illégales, remporte le prix Camille Lepage 2018. Kasia Strȩk a parcouru la Pologne, les Philippines, l’Irlande, Salvador, l’Égypte pour réaliser ce travail au long court.
Sabrina MARIEZ, photographe française autodidacte, présente le récit de Solange, une parmi tant d’autres femmes immigrées ayant trouvé refuge en France. Sabrina interroge et apporte un regard humain sur la prostitution.
« Re-sculpter le monde » célèbre la diversité des réfugiés venant d’Afghanistan, d’Érythrée et du Soudan, intégrant leurs cultures dans un dialogue artistique. Initié par ‘Hospitalité en Actions’, ce projet favorise les échanges entre résidents et migrants à travers des promenades, ateliers créatifs et événements culturels. La fête annuelle de l’hospitalité offre un espace de rencontre et de célébration collective.
Témoignage photographique de la montée de la pauvreté en France depuis 2015, mettant en lumière la « France Périphérique » et ses défis sociaux. Pierre Faure a reçu le Prix Camille Lepage 2017.
En mars 2016, j’ai été volontaire à Idoméni, Grèce, alors que la route des Balkans fermait. Témoin du désespoir des réfugiés, j’ai capturé leur quotidien.
Gilles Mercier, Directeur de résidences sociales, redécouvre la photographie après s’être investi dans l’action sociale. À Tichilesti, village roumain accueillant des lépreux depuis les années 30, les résidents reconstruisent leur vie malgré l’isolement et les défis budgétaires.
Brice Le Gall, photographe parisien s’oriente vers la photographie social et l’humaniste. Il capture les mobilisations sociales en France, notamment contre la réforme du code du travail en 2016, puis celle des retraites. Ses clichés, témoins de diverses revendications, expriment une tonalité anticapitaliste.
Michel Lamothe, photographe amateur depuis 40 ans. Dans cette série il photographie la vie des personnes sourdes aveugles en mettant en avant la symbolique de la main.
L’Enfant Soleil, fondée en 1997 à Mornac, soutient les familles charentaises avec enfants handicapés, offrant des services adaptés et de répit. Installée à Angoulême depuis 2008, elle propose un accueil de loisirs et une exposition photo réalisée par l’atelier Focale 16, témoignant de son engagement.
En septembre 2015, le destin tragique d’Aylan a ému le monde. À travers mes photographies, Isabelle Serro donne un visage humain aux migrants, loin des statistiques, pour rappeler leur humanité face à l’indifférence croissante.
