Sandrine Gros _ Matières à Papillons
Sandrine Gros raconte des histoires qui mêlent l’homme et l’élément naturel. En studio elle compose des scènes qui traduisent les histoires de son imaginaire où le papillon est roi.
Sandrine Gros raconte des histoires qui mêlent l’homme et l’élément naturel. En studio elle compose des scènes qui traduisent les histoires de son imaginaire où le papillon est roi.
Dans ce projet, chaque maison reflète l’individualité de son habitant, explorant des catégories de logements, des « Tiny houses » aux « néo-châteaux ». Il invite à une rencontre entre la subjectivité de l’auteur et du spectateur. Chaque image accompagnée d’un récit et d’une vue intérieure de l’habitat, créé ainsi un lien entre l’intérieur et l’extérieur, l’imaginaire du photographe et le réel.
C’est une belle métaphore poétique sur l’identité et l’adaptation. Les chaises des jardins publics symbolisent les individus confrontés à des environnements différents. Certaines partent en quête d’un nouvel équilibre, mais l’intégration dans de nouveaux milieux n’est pas toujours facile.
Cette série d’autoportraits explore « l’âge gris », une période de transition de l’enfance à l’âge adulte, marquée par des questionnements et des émotions complexes. L’artiste dépeint le sentiment d’isolement et de confusion, exprimant son propre vécu sans recourir à des modèles externes.
« ARIZO » est une série photographique qui dépeint la perte et la destruction amoureuse d’une jeune femme en quête d’identité et d’amour
Nicolas Boutruche, passé du cinéma à la photographie, raconte des histoires à travers ses clichés. De l’imaginaire au voyeurisme urbain, chaque série est une exploration de la vie de ses personnages.
Yves Phelippot, photographe passionné, a remporté le 2e prix au festival de Saint-Benoit en 2013. Les triptyques « Train de Nuit » font écho à notre monde moderne. Voyage intérieur et déplacements, reflétant ainsi l’idée de Paul Virilio selon laquelle l’identité est remplacée par la traçabilité dans un monde en perpétuel mouvement.
Cette série photographique explore la quête individuelle aux abords une voie de chemin de fer abandonnée. Le modèle, de dos, symbolise la recherche personnelle de chacun. La série évoque l’errance, la transformation et le départ vers la lumière, un voyage intérieur vers une nouvelle destinée.
Richard Tallet, 40 ans, journaliste, il trouve dans les moments d’abandon une mise à distance du réel en photographiant au fond des verres. Vision kaléidoscopiques, mêlant technologie moderne et nostalgie vintage.
Cushmok propose ces haïkus visuels, qui invitent à la contemplation sans obligation d’interprétation. Traitées numériquement, elles intègrent parfois des éléments graphiques, tandis que le noir et blanc et le grain prononcé évoquent le passé. Les personnages, souvent l’auteur lui-même, suscitent une lecture poétique ouverte à sa propre l’interprétation.